Le documentaire raconte comment le garçon (Idir) qui est né un certain 25 octobre 1955 à Aït Lahcène, un village de Kabylie accroché à la montagne, a vécu parmi les paysans. Enfant libre, comme tous les enfants de Kabylie, Idir se baigne dans les ruisseaux, pose des pièges pour attraper les oiseaux. Le soir, respectueux et émerveillé, il écoute à la bougie les histoires (timucuha) racontées par la grand-mère.
Puis, à l’âge de neuf ans, le gamin monte à Alger et devient chanteur par hasard. Comment il a enregistré son premier 45 tours en 1974 alors qu’il était en service militaire à Blida. En 1976, il atterrit à Paris, pris en charge par un directeur artistique de chez Pathé, Claude Dejacques. C’est alors qu’il commence une nouvelle vie, fait l’expérience de la démocratie, des partis politiques,…