Littérature / édition
ROMAN | Août 2003
Dimanche à la piscine à Kigali (Un)
Gil Courtemanche
Pays concerné : Rwanda
Edition : Denoël
Pays d’édition : France
ISBN : 2207255212
Pages: 300
Prix : 18.00
Parution : Août 2003
Français
Bernard Valcourt est journaliste. Il a connu l’Éthiopie, le Liban. Il n’a plus rien à apprendre au sujet de l’horreur dont les hommes sont capables. Et c’est par désœuvrement qu’il accepte, au début des années 90, de se rendre au Rwanda pour mettre sur pied un service de télévision digne d’un pays démocratique et développé.
Sa mission échoue, mais il fait la connaissance de Gentille. Gentille est si belle que la regarder fait mal. Gentille est une Hutue qui vit dans un corps de Tutsie. Valcourt en vient à aimer et la femme et le pays. Pourtant, il s’était juré que cela ne lui arriverait plus jamais. Et lui qui n’était plus qu’une terre stérile, il se sent enfin revivre.
Un dimanche à la piscine à Kigali retrace de façon saisissante l’histoire récente du Rwanda et parvient à nous faire comprendre les mécanismes du génocide mieux que tous les journaux télévisés. Mais il s’agit bien d’un roman, et la littérature apporte ce qui manquera toujours au reportage : un visage humain aux bourreaux et aux victimes.
Cette œuvre troublante, aux accents céliniens, pose les seules questions qui comptent : Comment mourir ? Comment vivre ?
Sa mission échoue, mais il fait la connaissance de Gentille. Gentille est si belle que la regarder fait mal. Gentille est une Hutue qui vit dans un corps de Tutsie. Valcourt en vient à aimer et la femme et le pays. Pourtant, il s’était juré que cela ne lui arriverait plus jamais. Et lui qui n’était plus qu’une terre stérile, il se sent enfin revivre.
Un dimanche à la piscine à Kigali retrace de façon saisissante l’histoire récente du Rwanda et parvient à nous faire comprendre les mécanismes du génocide mieux que tous les journaux télévisés. Mais il s’agit bien d’un roman, et la littérature apporte ce qui manquera toujours au reportage : un visage humain aux bourreaux et aux victimes.
Cette œuvre troublante, aux accents céliniens, pose les seules questions qui comptent : Comment mourir ? Comment vivre ?
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