Histoire/société
ESSAI | Janvier 1988
Violence dans la tragédie jacobéenne : Contemporains et Successeurs de Shakespeare (La)
Rafik Darragi
Pages: 675
Parution : 01 Janvier 1988
Français
Service des Publications, Faculté des Lettres de Tunis, 1988, 675 pages.
» Ce travail est une version abrégée d’une thèse de doctorat d’Etat soutenue à Paris-Sorbonne (Paris IV) en juin 1984… » (Avant-propos)
» Les traditions et les religions sont tissées d’interdits et de malédictions ; les légendes et l’Histoire sont faites de guerres, de luttes, de meurtres et forfaits. Et si rien qui soit susceptible de créer le suspense, ou si rien de ‘noir’ ne survient en fait , on se complaît à inventer des choses horribles : romans policiers ou d’épouvante, films et récits de catastrophes. La peinture, la sculpture, et l’architecture avec ses prisons et ses camps, sont atteintes du même virus, et la littérature et le théâtre de tous les temps, de toutes les nations…Pourquoi celui d’Angleterre, du temps de Jacques 1er ferait-il exception à la règle ? L’Anglais d’alors, ses mœurs et son milieu, ne s’y prêtaient-ils pas excellemment ? Les traditions théâtrales, le passé, n’allaient-ils pas dans ce sens ? N’y avait-il pas l’exemple de Shakespeare ? » (Introduction, p.14.)
» Ce travail est une version abrégée d’une thèse de doctorat d’Etat soutenue à Paris-Sorbonne (Paris IV) en juin 1984… » (Avant-propos)
» Les traditions et les religions sont tissées d’interdits et de malédictions ; les légendes et l’Histoire sont faites de guerres, de luttes, de meurtres et forfaits. Et si rien qui soit susceptible de créer le suspense, ou si rien de ‘noir’ ne survient en fait , on se complaît à inventer des choses horribles : romans policiers ou d’épouvante, films et récits de catastrophes. La peinture, la sculpture, et l’architecture avec ses prisons et ses camps, sont atteintes du même virus, et la littérature et le théâtre de tous les temps, de toutes les nations…Pourquoi celui d’Angleterre, du temps de Jacques 1er ferait-il exception à la règle ? L’Anglais d’alors, ses mœurs et son milieu, ne s’y prêtaient-ils pas excellemment ? Les traditions théâtrales, le passé, n’allaient-ils pas dans ce sens ? N’y avait-il pas l’exemple de Shakespeare ? » (Introduction, p.14.)
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