Murmures

Projection Rwanda 28 avril 2014, MK2 Quai de Loire‏
avril 2014 | Sortie de film, livre, album… | Cinéma/TV | France
Source : Communiqué de presse / Press Release

Français

à 20h30
À l’occasion de la 20e commémoration du génocide des Tutsi, le MK2 Quai de Loire organise le lundi 28 avril à 20h30 une soirée spéciale, avec deux documentaires au programme :

Au nom du Père, de tous, du ciel (2010) de Marie-Violaine Brincard

Begin Began Begun (2005) de Sarah Vanagt

La séance sera suivie d’une rencontre-débat que j’animerai avec Marie-Violaine Brincard, et il sera possible de vous procurer mes ouvrages.

Au plaisir de vous y voir,
Nathan Réra


Lundi 28 AVRIL 2014 – 20h30
séance suivie d’un débat avec Marie-Violaine Brincard et Nathan Réra, docteur en histoire de l’art, spécialiste des représentations des génocides, auteur de « Rwanda, entre crise morale et malaise esthétique – Les médias, la photographie et le cinéma à l’épreuve du génocide des Tutsi (1994-2014) », Ed. Presses du réel 2014.

BEGIN, BEGAN, BEGUN
un film de Sara Vanagt
Belgique, 2005, ciné. numérique couleur, 38′
Réalisation : Sarah Vanagt
Montage : Emilio Battista
Image : Annemarie Lean-Vercoe
son : Pete Connelly
Production : Balthasar

Avril 2004 au Rwanda, mois du deuil dans le nouveau calendrier rwandais. Pendant que le pays commémore le dixième anniversaire du génocide, des enfants jouent. La réalisatrice Sarah Vanagt a passé les vacances de Pâques dans « une république d’enfants », gouvernée par des orphelins du génocide et des enfants réfugiés qui grandissent dans la zone de combat située à la frontière du Rwanda et de la République Démocratique du Congo.

AU NOM DU PÈRE, DE TOUS, DU CIEL
un film de Marie-Violaine Brincard

France, 2009, Beta SP, couleur, 52′
Auteure : Marie-Violaine Brincard,
François-Jérôme Brincard
Réalisateur : Marie-Violaine Brincard
Image : Olivier Dury
Son : Régis Muller
Montage : Anaïs Enshaïan,
Marie-Violaine Brincard
Production : Les Films du Sud, France
Télévisions Pôle RFO

D’avril à juillet 1994 au Rwanda, quelques Hutu résistent à la terreur génocidaire et décident d’accueillir et de sauver des Tutsi. Quinze ans plus tard, malgré des tentatives symboliques de reconnaissance, ils peinent à trouver leur place dans la société rwandaise : traîtres pour certains et tueurs potentiels pour d’autres.
Joseph, Joséphine, Léonard, Augustin et Marguerite racontent comment, au péril de leur vie, ils ont caché des Tutsi et les ont aidés à s’enfuir. Leurs paroles résonnent dans les lieux où ils ont résisté, des collines de Nyanza aux rives du lac Kivu, et rendent ainsi sensible l’humanité dont ils ont fait preuve.
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