Murmures

Michel Hengo, une icône de la peinture congolaise
mai 2012 | Divers | Arts plastiques | République du Congo
Source : Presse

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Jeune Afrique revient sur le parcours de Michel Hengo artiste plasticien de Pointe Noire.

« De l’abstrait au symbolisme, du cubisme au figuratif, il s’est beaucoup inspiré – au cours de sa longue carrière – des scènes du quotidien congolais, accordant une place particulière à la femme. Adepte de la peinture à l’huile, il a vendu et exposé des toiles un peu partout dans le monde : États-Unis, France, Brésil, Cuba, Algérie, Sénégal, Côte d’Ivoire, Chine, pays scandinaves… Il a aussi réalisé des fresques en céramique et décoré le palais des congrès de Brazzaville. Mais, en 2000, c’est à Pointe-Noire que Michel Hengo, qui a 70 ans cette année, s’est installé et a ouvert un atelier ».

En 1961, à l’âge de 19 ans, le jeune Hengo quitte son village natal de Mongo (département de la Cuvette) pour Brazzaville. Il y fréquente quelques peintres confirmés, à l’instar de Michel Gando, mais apprend surtout seul. Il se fait remarquer, illustre quelques livres en lingala et kikongo. De quoi se rassurer : le dessin sera son gagne-pain. De 1968 à 1970, Michel Hengo suit une formation de base à la célèbre école de peinture de Poto-Poto. Associé à l’avant-garde de la peinture congolaise, il ne passe plus inaperçu. Il est notamment sollicité pour la conception du drapeau de la République populaire du Congo marxiste-léniniste et de l’emblème du Parti congolais du travail (PCT), ou encore pour décorer la salle de conférences de l’Organisation de l’unité africaine (OUA) à Addis-Abeba ».

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Lire l’intégralité de l’article sur le portail de Jeune Afrique (en lien).

En 2003, les éditions Mokandart publiaient un ouvrage qui retraçait le parcours de Michel Hengo, « seul survivant de la grande période de la peinture congolaise à se remettre en question et à innover comme très peu d’artistes savent le faire »
Michel Hengo, peintre.

Nous recommandons également a lecture de l’article « Le peintre Michel Hengo oublié peu à peu  » publié dans le quotidien Star du Congo (en lien).
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