Festival Culture et Paix 2007
Ouvrir l’ère de la promotion de spectacles par les artistes

Festival
du 18 au 20 Mai 2007
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Ziguinchor – Sénégal
Français
A travers la concrétisation de ce projet, il s’agira pour les artistes de la Casamance de s’inviter dans le marché de la promotion de spectacles. Ils pourront ainsi, au-delà de la mobilisation pour la paix, créer l’événement.
Principaux animateurs des festivals pour la paix, organisés depuis plusieurs années en Casamance, les artistes ne veulent plus se contenter de jouer le rôle d’invités. Dorénavant, ils envisagent d’aller plus loin en devenant les promoteurs de ces manifestations culturelles qui visent non seulement à sensibiliser sur le thème de la paix. Mais aussi à redonner le sourire à une population qui en manque réellement. C’est tout le sens du festival’Culture et paix’ que la capitale du sud aura l’honneur d’abriter du 18 au 20 mai prochain.
Cette manifestation, qui portera la signature de la compagnie Bou-Saana, est la première initiative du genre prise par les acteurs culturels dans ce sens. Il s’agit pour cette compagnie théâtrale, qui a fini de se faire un nom aux plan national et international, d’accompagner le processus de paix en intensifiant et en prolongeant le travail déjà entamé par les Ong et autres organisations. Un travail dans lequel les artistes veulent jouer un rôle, conscients que, argumente le président de la compagnie Bou-Saana,’quand on a la chance d’être écouté et apprécié, on a le devoir de dire et de produire quelque chose qui reflète les aspirations profondes des populations et qui les aide à reconnaître les idées porteuses d’un meilleur futur’.
Surtout que, poursuit Souleymane Diawara,’l’apport des Ong n’est pas toujours perçu par les populations comme un élément à la hauteur de ce qu’elles aspirent’. Le premier festival’Culture et paix’ sera un creuset où se rencontreront tous les acteurs de la paix dans cette région sud du Sénégal.
C’est en tout cas l’ambition des promoteurs qui veulent accompagner le processus de paix en renforçant le rôle de la culture et des acteurs culturels dans la résolution des conflits et ouvrir les fenêtres et les portes à tout ce qui peut alimenter le mouvement vers l’édification d’un monde humain.
L’idée de ce festival, si l’on en croit Souleymane Diawara,’est inspirée par des événements pacifiques qui se passent en France tous les ans ou tous les deux ans’. Il s’agit par exemple, évoque le président de la compagnie Bou-Saana, des manifestations comme :’salons des initiatives de paix’,’forum pour la paix’,’Marches’, etc. Des manifestations qui regroupent plusieurs Ong et d’initiatives privées et’qui oeuvrent à cultiver la paix et la fraternité entre les peuples’. Mais, tout en s’inspirant de ces’modèles’ français, les promoteurs du festival’Culture et paix’, veulent apporter une touche africaine en les adaptant aux spécificités locales.
Mais également en s’appuyant particulièrement sur les points un, deux et trois de la décennie internationale de la promotion d’une culture de la non violence et de la paix adoptée par l’Organisation des nations unies (Onu) pour les années 2001-2010. Pour cette première édition en tout cas, il s’agira entre autres de permettre aux Ong et autres structures de montrer leurs activités et leurs actions sur le terrain, de mieux faire connaître leurs initiatives, mais aussi, de les sensibiliser sur la culture de la paix et de la prévention des conflits à travers un forum. Et pour donner un caractère international à l’événement, des artistes français sont attendus pendant cette manifestation qui entrera à partir de cette année dans l’agenda culturel régional.
Principaux animateurs des festivals pour la paix, organisés depuis plusieurs années en Casamance, les artistes ne veulent plus se contenter de jouer le rôle d’invités. Dorénavant, ils envisagent d’aller plus loin en devenant les promoteurs de ces manifestations culturelles qui visent non seulement à sensibiliser sur le thème de la paix. Mais aussi à redonner le sourire à une population qui en manque réellement. C’est tout le sens du festival’Culture et paix’ que la capitale du sud aura l’honneur d’abriter du 18 au 20 mai prochain.
Cette manifestation, qui portera la signature de la compagnie Bou-Saana, est la première initiative du genre prise par les acteurs culturels dans ce sens. Il s’agit pour cette compagnie théâtrale, qui a fini de se faire un nom aux plan national et international, d’accompagner le processus de paix en intensifiant et en prolongeant le travail déjà entamé par les Ong et autres organisations. Un travail dans lequel les artistes veulent jouer un rôle, conscients que, argumente le président de la compagnie Bou-Saana,’quand on a la chance d’être écouté et apprécié, on a le devoir de dire et de produire quelque chose qui reflète les aspirations profondes des populations et qui les aide à reconnaître les idées porteuses d’un meilleur futur’.
Surtout que, poursuit Souleymane Diawara,’l’apport des Ong n’est pas toujours perçu par les populations comme un élément à la hauteur de ce qu’elles aspirent’. Le premier festival’Culture et paix’ sera un creuset où se rencontreront tous les acteurs de la paix dans cette région sud du Sénégal.
C’est en tout cas l’ambition des promoteurs qui veulent accompagner le processus de paix en renforçant le rôle de la culture et des acteurs culturels dans la résolution des conflits et ouvrir les fenêtres et les portes à tout ce qui peut alimenter le mouvement vers l’édification d’un monde humain.
L’idée de ce festival, si l’on en croit Souleymane Diawara,’est inspirée par des événements pacifiques qui se passent en France tous les ans ou tous les deux ans’. Il s’agit par exemple, évoque le président de la compagnie Bou-Saana, des manifestations comme :’salons des initiatives de paix’,’forum pour la paix’,’Marches’, etc. Des manifestations qui regroupent plusieurs Ong et d’initiatives privées et’qui oeuvrent à cultiver la paix et la fraternité entre les peuples’. Mais, tout en s’inspirant de ces’modèles’ français, les promoteurs du festival’Culture et paix’, veulent apporter une touche africaine en les adaptant aux spécificités locales.
Mais également en s’appuyant particulièrement sur les points un, deux et trois de la décennie internationale de la promotion d’une culture de la non violence et de la paix adoptée par l’Organisation des nations unies (Onu) pour les années 2001-2010. Pour cette première édition en tout cas, il s’agira entre autres de permettre aux Ong et autres structures de montrer leurs activités et leurs actions sur le terrain, de mieux faire connaître leurs initiatives, mais aussi, de les sensibiliser sur la culture de la paix et de la prévention des conflits à travers un forum. Et pour donner un caractère international à l’événement, des artistes français sont attendus pendant cette manifestation qui entrera à partir de cette année dans l’agenda culturel régional.
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