Démarches urbaines
Exposition collective

Exposition
du 16 au 29 Décembre 2007
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Arts plastiques
Institut Français Sédar Senghor de Dakar – Pôle Culturel 89 rue Joseph T. Gomis, BP 4003 Dakar – Sénégal
11h – 19h du mardi au samedi // Galerie Le Manège // Entrée libre
Français
Issus de la même génération, ces trois artistes ont été profondément marqués par le phénomène urbain et s’inspirent des lieux de leur enfance : la Médina et Pikine.
Birame Ndiaye offre dans ses toiles une vision angoissante de la ville, où les silhouettes humaines se confondent avec des habitations menaçant de s’effondrer. Chez lui, l’humain et l’habitat semblent se fondre l’un dans l’autre. Birame Ndiaye répète inlassablement à travers ses œuvres que la ville est un lieu de perdition pour l’être humain.
Chez Ndoye Douts en revanche les couleurs vives reprennent le dessus, même si la misère y est toujours présente. Celui qui a créé récemment une installation de 100 toiles appelée « Caméléon » semble avoir trouvé une harmonie dans ce chaos. Ces œuvres flamboyantes, saynètes qui narrent une tranche de vie, semblent presque « guérir » le citadin qui les contemple.
Ousmane Mbaye, qui a commencé sa carrière comme frigoriste, s’est ensuite fait connaître à Dakar comme créateur de socles avant de se consacrer depuis deux ans au design. Avec une énergie communicatrice, il récupère les vestiges de la ville pour en faire sa matière première et leur redonne un statut d’utilité première, preuve que rien ne se crée, mais que, à l’instar d’un Dakar en perpétuel changement, tout se transforme au gré de la volonté humaine.
Birame Ndiaye offre dans ses toiles une vision angoissante de la ville, où les silhouettes humaines se confondent avec des habitations menaçant de s’effondrer. Chez lui, l’humain et l’habitat semblent se fondre l’un dans l’autre. Birame Ndiaye répète inlassablement à travers ses œuvres que la ville est un lieu de perdition pour l’être humain.
Chez Ndoye Douts en revanche les couleurs vives reprennent le dessus, même si la misère y est toujours présente. Celui qui a créé récemment une installation de 100 toiles appelée « Caméléon » semble avoir trouvé une harmonie dans ce chaos. Ces œuvres flamboyantes, saynètes qui narrent une tranche de vie, semblent presque « guérir » le citadin qui les contemple.
Ousmane Mbaye, qui a commencé sa carrière comme frigoriste, s’est ensuite fait connaître à Dakar comme créateur de socles avant de se consacrer depuis deux ans au design. Avec une énergie communicatrice, il récupère les vestiges de la ville pour en faire sa matière première et leur redonne un statut d’utilité première, preuve que rien ne se crée, mais que, à l’instar d’un Dakar en perpétuel changement, tout se transforme au gré de la volonté humaine.
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