Max Romeo & Livin’ Soul
Boris Lutanie, auteur de deux livres consacrés à la culture rasta et parus chez Le Chat Noir Editeur, nous parle de cette soirée.

Concert
Le 13 Février 2008
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Confort Moderne – 185 fbg du Pont Neuf, 86000 Poitiers – France
A 21h – 17/14€
Français
Max Romeo [reggae | jamaïque]
« Figure emblématique du reggae roots, Max Romeo a traversé toutes les grandes époques qui jalonnent le phénomène musical reggae. Témoin direct de l’histoire souvent violente de la Jamaïque, Max Romeo oeuvre pour un reggae engagé, social et conscient. Ses chansons sont marquées du double sceau de la révélation et de la révolution. Maxwell Smith, de son vrai nom, a multiplié les pseudonymes au début de sa carrière, moins pour brouiller les cartes que pour laisser libre court à la multiplicité de ses facettes vocales. A soixante trois ans, les dreadlocks ont blanchi, le visage s’est parcheminé, mais la voix est demeurée intacte. Le messager de Jah revient prodiguer ses « rootical vibes » dans l’hexagone, cette terre d’adoption du reggae selon ses propres dires. Pas de doute, Max sait toujours jouer les ferrailleurs pour trancher les tentacules de Babylone.
Livin’ Soul [reggae | jamaïque]
Loin de n’être qu’une réplique formolisée du reggae de leurs aînés jamaïquains, Livin’ Soul appuie sa force et sa singularité dans sa volonté de revisiter le répertoire des années 60 et 70 à l’aune d’influences multiples : soul, jazz, rock et blues. La formation se distingue avant tout par la qualité des rythmiques qui leur permet de réinvestir des riddims exhumés des périodes ska, rocksteady et roots reggae. Avec trois albums à leur actif, Sweet Lane, As a Spring, et The Bridge en 2007, Livin’Soul est parvenu à construire un pont entre des univers sonores parfois éloignés. La créativité de ces expérimentations gomme les lignes de démarcation entre les genres sans jamais sombrer dans la confusion ou dans l’exercice de style. »
« Figure emblématique du reggae roots, Max Romeo a traversé toutes les grandes époques qui jalonnent le phénomène musical reggae. Témoin direct de l’histoire souvent violente de la Jamaïque, Max Romeo oeuvre pour un reggae engagé, social et conscient. Ses chansons sont marquées du double sceau de la révélation et de la révolution. Maxwell Smith, de son vrai nom, a multiplié les pseudonymes au début de sa carrière, moins pour brouiller les cartes que pour laisser libre court à la multiplicité de ses facettes vocales. A soixante trois ans, les dreadlocks ont blanchi, le visage s’est parcheminé, mais la voix est demeurée intacte. Le messager de Jah revient prodiguer ses « rootical vibes » dans l’hexagone, cette terre d’adoption du reggae selon ses propres dires. Pas de doute, Max sait toujours jouer les ferrailleurs pour trancher les tentacules de Babylone.
Livin’ Soul [reggae | jamaïque]
Loin de n’être qu’une réplique formolisée du reggae de leurs aînés jamaïquains, Livin’ Soul appuie sa force et sa singularité dans sa volonté de revisiter le répertoire des années 60 et 70 à l’aune d’influences multiples : soul, jazz, rock et blues. La formation se distingue avant tout par la qualité des rythmiques qui leur permet de réinvestir des riddims exhumés des périodes ska, rocksteady et roots reggae. Avec trois albums à leur actif, Sweet Lane, As a Spring, et The Bridge en 2007, Livin’Soul est parvenu à construire un pont entre des univers sonores parfois éloignés. La créativité de ces expérimentations gomme les lignes de démarcation entre les genres sans jamais sombrer dans la confusion ou dans l’exercice de style. »
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