Yere Sorôkô, en quête d’une vie meilleure
un documentaire réalisé par Anne-Laure de Franssu

Projection
Le 11 Février 2008
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Cinéma/TV
Mairie du IIIème – 2, rue Eugène Spuller, 75003 Paris – France
A 19h30
Français
La projection sera suivie d’une rencontre avec Tanella Boni, Romancière, Poète, Philosophe ivoirienne
« C’est au cours d’un voyage à travers une Côte d’Ivoire en crise qu’Anne-Laure va tenter de redéfinir les limites de son identité. Le moteur de cette quête : la recherche d’un groupe d’amies ivoiriennes rencontré quelques années plus tôt, lors d’un précédent voyage en Côte d’Ivoire.
Ce documentaire, qui nous entraîne dans un mouvement de ressac tantôt vers la France, tantôt vers la Côte d’Ivoire, tantôt vers l’Angleterre, fait de nous, comme d’Anne-Laure, des nomades en quête de sens.
Blanche, française, Anne-Laure se sent tronquée de la partie africaine de son identité et se risque sur les routes peu sûres de ce pays dont elle rêve, pour se retrouver: « elle est partie se chercher », comme on dit là-bas.
L’originalité de ce documentaire, qui explore le thème de la quête d’identité, réside en partie dans une mise en scène sonore singulière.
Malgré le tumulte qui broie les entrailles du pays, les images ne recherchent pas le spectaculaire et laissent place à la vox populi ivoirienne.
Un documentaire qui crie l’amour d’Anne-Laure pour la Côte d’Ivoire et dit la difficulté d’y être « Peau blanche, masque noir ». »
« C’est au cours d’un voyage à travers une Côte d’Ivoire en crise qu’Anne-Laure va tenter de redéfinir les limites de son identité. Le moteur de cette quête : la recherche d’un groupe d’amies ivoiriennes rencontré quelques années plus tôt, lors d’un précédent voyage en Côte d’Ivoire.
Ce documentaire, qui nous entraîne dans un mouvement de ressac tantôt vers la France, tantôt vers la Côte d’Ivoire, tantôt vers l’Angleterre, fait de nous, comme d’Anne-Laure, des nomades en quête de sens.
Blanche, française, Anne-Laure se sent tronquée de la partie africaine de son identité et se risque sur les routes peu sûres de ce pays dont elle rêve, pour se retrouver: « elle est partie se chercher », comme on dit là-bas.
L’originalité de ce documentaire, qui explore le thème de la quête d’identité, réside en partie dans une mise en scène sonore singulière.
Malgré le tumulte qui broie les entrailles du pays, les images ne recherchent pas le spectaculaire et laissent place à la vox populi ivoirienne.
Un documentaire qui crie l’amour d’Anne-Laure pour la Côte d’Ivoire et dit la difficulté d’y être « Peau blanche, masque noir ». »
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