La zerda, ou les chants de l’oubli, de Assia Djebar
Projection du film documentaire de Assia Djebar La zerda, ou les chants de l’oubli

Projection
Le 07 Juillet 2009
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Cinéma/TV, Photo, Histoire/société
Dune – 18 Avenue Claude Vellefaux, 75010 Paris – France
entrée libre
Français
Pour la dernière rencontre de la saison, le club de lecture vous invite à la projection du film documentaire réalisé par Assia Djebar La Zerda, ou les chants de l’oubli, en 1982 (60 minutes)
Un montage à partir des archives, de la mémoire et de l’histoire, sur le Maghreb colonial qui reposait sur la séparation entre les images exotiques en usage -organisées par les forces coloniales afin de fêter et applaudir les visites des politiciens français-, et la réalité vécue par la population autochtone évoquée dans la bande sonore. Les images françaises laissent entendre le chant des « autres oubliés » dans ce film.
Assia Djebar, 1982, 60 minutes
« Pourquoi, à un certain moment de mon trajet, suis-je allée au travail de cinéma ? » Plutôt que de dire le cinéma, je dirais l' »image-son ». Et je ne me sens pas toutefois quitter la littérature…
La Nouba des femmes du Mont-Chenoua. Ce premier film semi-documentaire, semi-fictionnel (d’une heure cinquante-deux minutes) m’a pris deux ans (1977-1978) ; plus tard, j’en ai réalisé un second (d’une heure) que j’ai intitulé La Zerda, ou les chants de l’oubli (1982). «
Assia Djebar, Pourquoi je fais du cinéma, 1989
FESTIVALS / AWARDS
1983 | Festival de Berlin
* Primé
Un montage à partir des archives, de la mémoire et de l’histoire, sur le Maghreb colonial qui reposait sur la séparation entre les images exotiques en usage -organisées par les forces coloniales afin de fêter et applaudir les visites des politiciens français-, et la réalité vécue par la population autochtone évoquée dans la bande sonore. Les images françaises laissent entendre le chant des « autres oubliés » dans ce film.
Assia Djebar, 1982, 60 minutes
« Pourquoi, à un certain moment de mon trajet, suis-je allée au travail de cinéma ? » Plutôt que de dire le cinéma, je dirais l' »image-son ». Et je ne me sens pas toutefois quitter la littérature…
La Nouba des femmes du Mont-Chenoua. Ce premier film semi-documentaire, semi-fictionnel (d’une heure cinquante-deux minutes) m’a pris deux ans (1977-1978) ; plus tard, j’en ai réalisé un second (d’une heure) que j’ai intitulé La Zerda, ou les chants de l’oubli (1982). «
Assia Djebar, Pourquoi je fais du cinéma, 1989
FESTIVALS / AWARDS
1983 | Festival de Berlin
* Primé
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