Aux sources de la musique Palestinienne
avec Sana Moussa et l’ensemble Nawa Athar

Concert
Le 07 Novembre 2009
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Institut du Monde arabe – 1 rue des Fossés-saint-Bernard
Place Mohammed V, 75005 Paris – France
Tarif:
catégorie 1: de 20 à 16€
catégorie 2: de 16 à 12,80€
Offre spéciale: -30% (catégorie 1: 14€, catégorie 2: 11,20€ pour tout achat avant le 30 sept.2009)
Heure de début:20h30
Français
Dès son plus jeune âge, la voix de la chanteuse palestinienne Sana Moussa étincelait. Elle s’embellissait d’année en année grâce à la forte tradition musicale de son entourage. Dans la maison familiale, les voix mythiques des grands chanteurs du Coran, tel l’égyptien Abdel Basset Abdel Samad, ou celles des chanteurs de tarab, tels Mohammed Abdel Wahab, Oum Kalsoum, Sayyed Darwish et autres retentissaient de l’aube jusqu’au soir.
Très jeune, Sana attendait avec impatience le cours de chant sacré des versets coraniques, le tajwîd, où la voix du cheik l’ensorcelait. Quand elle se mettait à réciter le Coran, elle s’étonnait de voir les larmes couler sur les joues de ses petites camarades. Dans la maison paternelle, à Deir Al Assad, en Galilée, Sana était entourée de la voix de sa grand-mère, qui lui chantait des berceuses, et de celles, belles et rauques, de son grand-père
et de son père, qui retentissaient lors des fêtes de la région.
Plus tard, Sana Moussa a étudié la musique arabe classique et la musique palestinienne traditionnelle au centre Al Urmawi des études du Machrek à Jérusalem Est. En 2004, elle rejoint l’ensemble musical Houmayoune, spécialisé dans trois genres musicaux arabes distincts qui façonnent la mémoire musicale collective du peuple palestinien : la musique traditionnelle
palestinienne, la musique et le chant arabes classiques et la musique sacrée. Depuis, elle chante à côté de son père et avec l’ensemble Nawa Athar en Belgique, au Maroc, en France, en Espagne, aux Pays-Bas, en Suisse, et en Espagne.
À travers son chant narratif, Sana Moussa donne de la voix à ceux qui n’en ont pas : les paysans priant pour la pluie et la liberté, les réfugiés rêvant d’une vie digne, les amoureux défiant les difficultés et les enfants qui savent retrouver la joie au milieu de la misère.
Très jeune, Sana attendait avec impatience le cours de chant sacré des versets coraniques, le tajwîd, où la voix du cheik l’ensorcelait. Quand elle se mettait à réciter le Coran, elle s’étonnait de voir les larmes couler sur les joues de ses petites camarades. Dans la maison paternelle, à Deir Al Assad, en Galilée, Sana était entourée de la voix de sa grand-mère, qui lui chantait des berceuses, et de celles, belles et rauques, de son grand-père
et de son père, qui retentissaient lors des fêtes de la région.
Plus tard, Sana Moussa a étudié la musique arabe classique et la musique palestinienne traditionnelle au centre Al Urmawi des études du Machrek à Jérusalem Est. En 2004, elle rejoint l’ensemble musical Houmayoune, spécialisé dans trois genres musicaux arabes distincts qui façonnent la mémoire musicale collective du peuple palestinien : la musique traditionnelle
palestinienne, la musique et le chant arabes classiques et la musique sacrée. Depuis, elle chante à côté de son père et avec l’ensemble Nawa Athar en Belgique, au Maroc, en France, en Espagne, aux Pays-Bas, en Suisse, et en Espagne.
À travers son chant narratif, Sana Moussa donne de la voix à ceux qui n’en ont pas : les paysans priant pour la pluie et la liberté, les réfugiés rêvant d’une vie digne, les amoureux défiant les difficultés et les enfants qui savent retrouver la joie au milieu de la misère.
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