Événements

Festival du film Amazigh 2010 (FCNAFA)
10ème édition

Français

Le Festival Culturel National Annuel du Film Amazigh (FCNAFA) sera l’hôte de la capitale du Djurdjura, Tizi-Ouzou, du 15 au 20 mars 2010. La participation est ouverte à tous les cinéastes algériens et étrangers ayant en commun la thématique définie par la ligne artistique du festival. Un comité de sélection est installé par le Commissariat du FCNAFA pour procéder à la sélection des films éligibles à la compétition officielle et ce, conformément au règlement intérieur du festival. Cette structure est seule habilitée à accepter ou à refuser tout film au festival. Un jury constitué de personnalités et de professionnels du cinéma décernera l’Olivier d’Or pour chaque catégorie : LONG METRAGE FICTION, COURT METRAGE, DOCUMENTAIRE et ANIMATION. Le dernier délai pour les inscriptions est fixé pour le MARDI 05 JANVIER 2010.



Palmarès 2010
10ème édition FCNAFA


– Olivier d’or du meilleur long-métrage : « Itto Titrit » de Med Abbazi

– Olivier d’or du meilleur documentaire : « Kamal Hamadi » de Abderezak Larbi Cherif

– Mention spéciale du Jury : « Tin Hinan » de Rabie Ben Mokhtar

– Olivier d’or du meilleur court-métrage : « Dihya » de Omar Belkacemi

Scénarii 2010
Lauréats du concours

Au départ, les thèmes étaient intéressants, mais le traitement cinématographique reste aléatoire. On note une faiblesse des scenarii. Aussi bien au niveau de l’écriture (maitrise de la langue), des règles dramaturgiques que des techniques du scénario. C’est la raison pur laquelle il a été décidé de ne pas attribuer un « premier prix ».

Un deuxième prix est attribué au scénario « Métamorphose » de Douidi Souad.

Le texte est écrit dans un bon français. C’est un genre intimiste. Raconte l’histoire de Hiba, une adolescente qui passe à l’âge de la puberté. Tout en clair obscur.

Une mention est accordée au scenario « Yir Z’har » de Meghnine Mustapha, écrit en Kabyle. C’est l’histoire d’un rendez vous manqué entre Said et Linda. Mais tout est bien qui finit bien.

Une seconde mention est également accordée au texte « Pieds Noirs » de Salem Abdelhak. C’est l’histoire d’un vieux français qui cherche à revenir en Algérie pour retrouver ses racines algériennes. Et d’un jeune algérien qui veut aller en France coûte que coûte. Destins croisés.
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