Albert cossery et sa littérature
dans le cadre de la semaine des cultures étrangères

Rencontre/réunion
Le 01 Octobre 2003
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Littérature / édition
Centre Culturel d’Égypte – 111 boulevard Saint-Michel, 75005 Paris –
Français
18h30
L’œuvre de l’écrivain égyptien Albert Cossery est l’illustration même d’une déclaration d’amour à distance. Cossery, né au Caire en 1913, a fréquenté là-bas les écoles françaises.
Après avoir publié son premier roman au Caire en 1940, il décide de s’installer définitivement à Paris en 1945. Depuis, il a écrit six autres romans en langue française, consacrés aux habitants des quartiers populaires du Caire; il les considère en effet comme les détenteurs de l’humour égyptien, caractéristique identitaire forte de son pays natal qu’il aime profondément.
Cossery brosse ainsi avec bienveillance une galerie de portraits qui nous fait pénétrer dans l’univers cairote. Lorsqu’on l’interroge sur son choix du français pour l’écriture de ses ouvrages, il répond : « Ma mère ne parlait que l’arabe, mais j’ai été élevé chez les Frères, et ma langue est vite devenue le français. »
Seront présents : Albert Cossery, son éditrice Joëlle Losfeld, un admirateur de Cossery, l’écrivain Michel Déon, académicien. Sous réserve : présence de Richard Bohringer pour une lecture de textes.
L’œuvre de l’écrivain égyptien Albert Cossery est l’illustration même d’une déclaration d’amour à distance. Cossery, né au Caire en 1913, a fréquenté là-bas les écoles françaises.
Après avoir publié son premier roman au Caire en 1940, il décide de s’installer définitivement à Paris en 1945. Depuis, il a écrit six autres romans en langue française, consacrés aux habitants des quartiers populaires du Caire; il les considère en effet comme les détenteurs de l’humour égyptien, caractéristique identitaire forte de son pays natal qu’il aime profondément.
Cossery brosse ainsi avec bienveillance une galerie de portraits qui nous fait pénétrer dans l’univers cairote. Lorsqu’on l’interroge sur son choix du français pour l’écriture de ses ouvrages, il répond : « Ma mère ne parlait que l’arabe, mais j’ai été élevé chez les Frères, et ma langue est vite devenue le français. »
Seront présents : Albert Cossery, son éditrice Joëlle Losfeld, un admirateur de Cossery, l’écrivain Michel Déon, académicien. Sous réserve : présence de Richard Bohringer pour une lecture de textes.
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