Événements

Représentation « Enfant, je n’inventais pas d’histoires… »
de Kossi Efoui par la compagnie théâtre inutile

Français

Comment dire les mots de la peur envi­ron­nante qui « enserre » la famille dans l’étau de la folie, de l’expro­pria­tion, de la mani­pu­la­tion, des croyan­ces ? Voilà la ques­tion qui remonte de l’explo­ra­tion bles­sée.

Comment recons­ti­tuer les frag­ments d’une enfance tra­ver­sée par les déchi­re­ments de la vio­lence, celle qui s’exerce sur l’esprit mais aussi sur les corps, celle qui impose le silence.

Comment contre­car­rer ce silence en rusant avec les mots qui font avan­cer et sou­tien­nent la mar­che d’un homme vers la conquête de sa voix pro­pre, l’expres­sion de son regard sin­gu­lier, de ce qui échappe à l’œuvre de vio­lence, à l’oubli, et demande un nom.

Enfant, je n’inven­tais pas d’his­toi­res… est un pro­jet basé sur le conte. Le tra­vail avec le conteur, Bienvenu Bonkian, se cons­truira avec un tableau noir et de la craie. Un sup­port de pro­jec­tion invi­tera les spec­ta­teurs à pro­je­ter des ima­ges, des pay­sa­ges, des situa­tions. Les sons et les ryth­mes par­ti­ci­pe­ront à cette cons­truc­tion. Tout s’arti­cu­lera autour du récit de l’his­toire de cet enfant qui n’inven­tait pas d’his­toi­res.

Comment dire les mots de la peur envi­ron­nante qui « enserre » la famille dans l’étau de la folie, de l’expro­pria­tion, de la mani­pu­la­tion, des croyan­ces ? Voilà la ques­tion qui remonte de l’explo­ra­tion bles­sée.

Comment recons­ti­tuer les frag­ments d’une enfance tra­ver­sée par les déchi­re­ments de la vio­lence, celle qui s’exerce sur l’esprit mais aussi sur les corps, celle qui impose le silence.

Comment contre­car­rer ce silence en rusant avec les mots qui font avan­cer et sou­tien­nent la mar­che d’un homme vers la conquête de sa voix pro­pre, l’expres­sion de son regard sin­gu­lier, de ce qui échappe à l’œuvre de vio­lence, à l’oubli, et demande un nom.

Enfant, je n’inven­tais pas d’his­toi­res… est un pro­jet basé sur le conte. Le tra­vail avec le conteur, Bienvenu Bonkian, se cons­truira avec un tableau noir et de la craie. Un sup­port de pro­jec­tion invi­tera les spec­ta­teurs à pro­je­ter des ima­ges, des pay­sa­ges, des situa­tions. Les sons et les ryth­mes par­ti­ci­pe­ront à cette cons­truc­tion. Tout s’arti­cu­lera autour du récit de l’his­toire de cet enfant qui n’inven­tait pas d’his­toi­res.



Mise en scène : Nicolas Saelans, décor : Dao Sada et régie : Hermann Coulibaly avec Bienvenu Bonkian
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