Représentation « Enfant, je n’inventais pas d’histoires… »
de Kossi Efoui par la compagnie théâtre inutile

Représentation
Le 12 Février 2010
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Théâtre
Dapper – 35 bis, rue Paul Valéry (musée)
50, av. Victor Hugo (admin.), 75116 Paris – France
à 18h30 –

Français
Comment dire les mots de la peur environnante qui « enserre » la famille dans l’étau de la folie, de l’expropriation, de la manipulation, des croyances ? Voilà la question qui remonte de l’exploration blessée.
Comment reconstituer les fragments d’une enfance traversée par les déchirements de la violence, celle qui s’exerce sur l’esprit mais aussi sur les corps, celle qui impose le silence.
Comment contrecarrer ce silence en rusant avec les mots qui font avancer et soutiennent la marche d’un homme vers la conquête de sa voix propre, l’expression de son regard singulier, de ce qui échappe à l’œuvre de violence, à l’oubli, et demande un nom.
Enfant, je n’inventais pas d’histoires… est un projet basé sur le conte. Le travail avec le conteur, Bienvenu Bonkian, se construira avec un tableau noir et de la craie. Un support de projection invitera les spectateurs à projeter des images, des paysages, des situations. Les sons et les rythmes participeront à cette construction. Tout s’articulera autour du récit de l’histoire de cet enfant qui n’inventait pas d’histoires.
Comment dire les mots de la peur environnante qui « enserre » la famille dans l’étau de la folie, de l’expropriation, de la manipulation, des croyances ? Voilà la question qui remonte de l’exploration blessée.
Comment reconstituer les fragments d’une enfance traversée par les déchirements de la violence, celle qui s’exerce sur l’esprit mais aussi sur les corps, celle qui impose le silence.
Comment contrecarrer ce silence en rusant avec les mots qui font avancer et soutiennent la marche d’un homme vers la conquête de sa voix propre, l’expression de son regard singulier, de ce qui échappe à l’œuvre de violence, à l’oubli, et demande un nom.
Enfant, je n’inventais pas d’histoires… est un projet basé sur le conte. Le travail avec le conteur, Bienvenu Bonkian, se construira avec un tableau noir et de la craie. Un support de projection invitera les spectateurs à projeter des images, des paysages, des situations. Les sons et les rythmes participeront à cette construction. Tout s’articulera autour du récit de l’histoire de cet enfant qui n’inventait pas d’histoires.
Mise en scène : Nicolas Saelans, décor : Dao Sada et régie : Hermann Coulibaly avec Bienvenu Bonkian
Comment reconstituer les fragments d’une enfance traversée par les déchirements de la violence, celle qui s’exerce sur l’esprit mais aussi sur les corps, celle qui impose le silence.
Comment contrecarrer ce silence en rusant avec les mots qui font avancer et soutiennent la marche d’un homme vers la conquête de sa voix propre, l’expression de son regard singulier, de ce qui échappe à l’œuvre de violence, à l’oubli, et demande un nom.
Enfant, je n’inventais pas d’histoires… est un projet basé sur le conte. Le travail avec le conteur, Bienvenu Bonkian, se construira avec un tableau noir et de la craie. Un support de projection invitera les spectateurs à projeter des images, des paysages, des situations. Les sons et les rythmes participeront à cette construction. Tout s’articulera autour du récit de l’histoire de cet enfant qui n’inventait pas d’histoires.
Comment dire les mots de la peur environnante qui « enserre » la famille dans l’étau de la folie, de l’expropriation, de la manipulation, des croyances ? Voilà la question qui remonte de l’exploration blessée.
Comment reconstituer les fragments d’une enfance traversée par les déchirements de la violence, celle qui s’exerce sur l’esprit mais aussi sur les corps, celle qui impose le silence.
Comment contrecarrer ce silence en rusant avec les mots qui font avancer et soutiennent la marche d’un homme vers la conquête de sa voix propre, l’expression de son regard singulier, de ce qui échappe à l’œuvre de violence, à l’oubli, et demande un nom.
Enfant, je n’inventais pas d’histoires… est un projet basé sur le conte. Le travail avec le conteur, Bienvenu Bonkian, se construira avec un tableau noir et de la craie. Un support de projection invitera les spectateurs à projeter des images, des paysages, des situations. Les sons et les rythmes participeront à cette construction. Tout s’articulera autour du récit de l’histoire de cet enfant qui n’inventait pas d’histoires.
Mise en scène : Nicolas Saelans, décor : Dao Sada et régie : Hermann Coulibaly avec Bienvenu Bonkian
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