Songook Yaakaar, Affronter l’espoir
spectacle de Germaine Acogny

© Antoine Tempé
Représentation
du 13 au 15 Octobre 2010
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Danse
Centre National de la Danse (CND) – 1 rue Victor Hugo, 93500 Pantin – France
Rencontre avec le public à l’issue de la représentation du jeudi 14 octobre
Français
Avec son nouveau solo Songook Yaakaar, Affronter l’espoir, Germaine Acogny donne à voir un spectacle « dansé, parlé, engagé et universel », où elle réaffirme ses convictions d’artiste et s’oppose à tous les détracteurs du continent africain.
« Depuis longtemps, je cherchais comment répliquer à ceux qui parlent de l’Afrique à tort et à travers. Aujourd’hui, je le fais avec les gestes de ma danse, accompagnés de mots glanés ici et là. J’ai toujours pensé que la vie exprimée par la danse était l’image véritable de notre continent plus qu’aucune langue ne peut le faire.
J’ai choisi de « danser en plaisanterie », une coutume vivante en Afrique de l’Ouest permettant de se moquer de soi-même sans épargner les autres. Senghor disait : « L’Afrique apporte le rire au monde ! »
Mon arme, c’est ma chaloupe, c’est ma danse bénie par les dieux de mes ancêtres. Je danse au-delà des mots et des maux, pour affronter l’espoir de mes Afriques et défendre mes joyeux intérêts.
Puissiez-vous les partager avec moi. »
Germaine Acogny
« Depuis longtemps, je cherchais comment répliquer à ceux qui parlent de l’Afrique à tort et à travers. Aujourd’hui, je le fais avec les gestes de ma danse, accompagnés de mots glanés ici et là. J’ai toujours pensé que la vie exprimée par la danse était l’image véritable de notre continent plus qu’aucune langue ne peut le faire.
J’ai choisi de « danser en plaisanterie », une coutume vivante en Afrique de l’Ouest permettant de se moquer de soi-même sans épargner les autres. Senghor disait : « L’Afrique apporte le rire au monde ! »
Mon arme, c’est ma chaloupe, c’est ma danse bénie par les dieux de mes ancêtres. Je danse au-delà des mots et des maux, pour affronter l’espoir de mes Afriques et défendre mes joyeux intérêts.
Puissiez-vous les partager avec moi. »
Germaine Acogny
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