Peintres algérianistes en el-Djazaïr
Toiles de Carré, de Buzon, Bouviolle, Bascoulès, Leroy, Brandel, et de peintres d’horizons divers que l’Algérie a su convier : Rochegrosse, Herzig, Liebert, Ortéga, de Toursky, Verschaffelt, K. Carré, Hourtal, Richevillain…

Exposition
du 16 au 22 Décembre 2003
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Arts plastiques
Orly-ville – France
Planet-DZ
Français
Vernissage : mardi 16 décembre à partir de 18 h 30
L’Algérie a suscité fascination et engouement artistiques. A distance des recherches novatrices et révolutionnaires, la peinture algérianiste, essentiellement figurative et réaliste, se déploiera à la première moitié du vingtième siècle comme autant d’expressions individuelles, nourries chacune à la matrice d’un pays aux ressources esthétiques remarquables.
Résidents ou natifs, les peintres de l’Algérie n’auront de cesse d’en traduire les caractères géographiques, architecturaux, humains enfin, et d’exploiter la qualité rare de sa lumière. Se forgera ainsi une identité créative agissant à la manière d’une école nommée algérianiste – épithète polysémique sujette à de possibles controverses – exprimant tout à la fois les bornages esthétiques et historiques de sa production.
Après l’oubli, parfois le rejet, voilà que l’œuvre des algérianistes se distingue à nouveau en cette année de célébration d’el-Djazaïr, qui participe de la réconciliation des mémoires et y concourt résolument…
Seront exposées les tableaux de « Prix Abd-el-Tif » tels Carré, de Buzon, Bouviolle, Bascoulès, Leroy, Brandel, et de peintres d’horizons divers que l’Algérie a su convier : Rochegrosse, Herzig, Liebert, Ortéga, de Toursky, Verschaffelt, K. Carré, Hourtal, Richevillain…
Nadya Bouzar-Kasbadji
Commissaire de l’exposition
Orly-ville
Centre culturel (01 48 90 24 24)
1, Place du Fer à cheval
(Face au supermarché Leclerc)
L’Algérie a suscité fascination et engouement artistiques. A distance des recherches novatrices et révolutionnaires, la peinture algérianiste, essentiellement figurative et réaliste, se déploiera à la première moitié du vingtième siècle comme autant d’expressions individuelles, nourries chacune à la matrice d’un pays aux ressources esthétiques remarquables.
Résidents ou natifs, les peintres de l’Algérie n’auront de cesse d’en traduire les caractères géographiques, architecturaux, humains enfin, et d’exploiter la qualité rare de sa lumière. Se forgera ainsi une identité créative agissant à la manière d’une école nommée algérianiste – épithète polysémique sujette à de possibles controverses – exprimant tout à la fois les bornages esthétiques et historiques de sa production.
Après l’oubli, parfois le rejet, voilà que l’œuvre des algérianistes se distingue à nouveau en cette année de célébration d’el-Djazaïr, qui participe de la réconciliation des mémoires et y concourt résolument…
Seront exposées les tableaux de « Prix Abd-el-Tif » tels Carré, de Buzon, Bouviolle, Bascoulès, Leroy, Brandel, et de peintres d’horizons divers que l’Algérie a su convier : Rochegrosse, Herzig, Liebert, Ortéga, de Toursky, Verschaffelt, K. Carré, Hourtal, Richevillain…
Nadya Bouzar-Kasbadji
Commissaire de l’exposition
Orly-ville
Centre culturel (01 48 90 24 24)
1, Place du Fer à cheval
(Face au supermarché Leclerc)
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