Festival Jazz au Chellah 2011
16ème édition

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Jazz au Chellah, plate-forme du jazz d’Europe, poursuit inlassablement sa marche vers une nouvelle musique transculturelle, entrelaçant les identités et redessinant les frontières de la musique par l’écoute et l’échange », affirment Jean-Pierre Bissot et Majid Bekkas, directeurs artistiques du Festival Jazz au Chellah pour annoncer la couleur de cette 16ème édition qui aura lieu du 15 au 19 juin 2011 sur le magnifique site qui lui a donné son nom.
Pour l’édition 2011, le festival rassemblera 10 bands, quarante artistes de 13 pays européens choisis pour leur talent et leur diversité rejoints par une quinzaine de musiciens marocains parmi lesquels on retiendra Nabyla Maan, Khalid Hilal, Farid Myara et Faouz Laamouri, dignes représentants de la jeune génération montante de la scène musicale marocaine, et Mahmoud Guinea, véritable gardien du temple de la musique Gnaoua en clôture du festival.
Cinq soirs se suivront en jazz et en rencontres et ne se ressembleront pas en nouveauté. L’ouverture sera aux confins du jazz et des musiques du monde avec le quartet britannique Portico et une rencontre inédite entre les Talking Horns d’Allemagne et les Aissaoua. Le festival mettra aussi les femmes à l’honneur avec Iva Bittova, artiste atypique de Tchéquie et Michaela Rabitsch, d’Autriche qui rencontrera un jeune trio mené par Nabyla Maan, l’étoile montante de la nouvelle scène jeune marocaine. Le vendredi sera entre jazz groove et swing espagnol, hollandais, belge et portugais et le samedi sera dédié au jazz nordique qui nous viendra de Finlande, de Suède et de Danemark. La soirée de clôture sera résolument tout en transe avec Emile Parisien Quartet, révélation, victoire du jazz 2009 et une rencontre entre Pino Minafra dont la musique s’inspire fortement des mélodies africaines et Mahmoud Guinea, l’incontestable figure emblématique de la musique Gnaoua.
Le Festival « Jazz au Chellah », initiative de la Délégation de’Union européenne au Maroc avec les ambassades et instituts culturelles de états membre de l’UE, ne s’est pas seulement créé un public, il a contribué à la concrétisation d’une dimension culturelle nouvelle. A ce propos, M. Eneko Landaburu, ambassadeur chef de la délégation de l’UE au Maroc déclare « Le jazz, en cette période particulière, est le reflet de valeurs essentielles: tout d’abord la liberté, par le choix ouvert de l’expression musicale, qui se nourrit de l’échange et du dialogue; puis, la compréhension et la tolérance qui se dégagent de ces nouvelles harmonies, par l’intégration parfaite de « l’autre » avec ses spécificités ».
Organisé depuis 1996 conjointement par la Délégation de l’Union européenne au Maroc et les ambassades et instituts culturels des États membres de l’Union européenne, en partenariat avec le ministère de la Culture et la Wilaya de Rabat Salé, Jazz au Chellah a su démontrer que la musique est l’une des illustrations les plus réussies du dialogue interculturel entre l’Europe et le Maroc. Chaque année, les artistes européens et marocains invités en font la démonstration, offrant au public des bouquets musicaux inédits.
Pour l’édition 2011, le festival rassemblera 10 bands, quarante artistes de 13 pays européens choisis pour leur talent et leur diversité rejoints par une quinzaine de musiciens marocains parmi lesquels on retiendra Nabyla Maan, Khalid Hilal, Farid Myara et Faouz Laamouri, dignes représentants de la jeune génération montante de la scène musicale marocaine, et Mahmoud Guinea, véritable gardien du temple de la musique Gnaoua en clôture du festival.
Cinq soirs se suivront en jazz et en rencontres et ne se ressembleront pas en nouveauté. L’ouverture sera aux confins du jazz et des musiques du monde avec le quartet britannique Portico et une rencontre inédite entre les Talking Horns d’Allemagne et les Aissaoua. Le festival mettra aussi les femmes à l’honneur avec Iva Bittova, artiste atypique de Tchéquie et Michaela Rabitsch, d’Autriche qui rencontrera un jeune trio mené par Nabyla Maan, l’étoile montante de la nouvelle scène jeune marocaine. Le vendredi sera entre jazz groove et swing espagnol, hollandais, belge et portugais et le samedi sera dédié au jazz nordique qui nous viendra de Finlande, de Suède et de Danemark. La soirée de clôture sera résolument tout en transe avec Emile Parisien Quartet, révélation, victoire du jazz 2009 et une rencontre entre Pino Minafra dont la musique s’inspire fortement des mélodies africaines et Mahmoud Guinea, l’incontestable figure emblématique de la musique Gnaoua.
Le Festival « Jazz au Chellah », initiative de la Délégation de’Union européenne au Maroc avec les ambassades et instituts culturelles de états membre de l’UE, ne s’est pas seulement créé un public, il a contribué à la concrétisation d’une dimension culturelle nouvelle. A ce propos, M. Eneko Landaburu, ambassadeur chef de la délégation de l’UE au Maroc déclare « Le jazz, en cette période particulière, est le reflet de valeurs essentielles: tout d’abord la liberté, par le choix ouvert de l’expression musicale, qui se nourrit de l’échange et du dialogue; puis, la compréhension et la tolérance qui se dégagent de ces nouvelles harmonies, par l’intégration parfaite de « l’autre » avec ses spécificités ».
Organisé depuis 1996 conjointement par la Délégation de l’Union européenne au Maroc et les ambassades et instituts culturels des États membres de l’Union européenne, en partenariat avec le ministère de la Culture et la Wilaya de Rabat Salé, Jazz au Chellah a su démontrer que la musique est l’une des illustrations les plus réussies du dialogue interculturel entre l’Europe et le Maroc. Chaque année, les artistes européens et marocains invités en font la démonstration, offrant au public des bouquets musicaux inédits.
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