Exposition : Vil-Visages, de Boris Nzébo
Vil-Visages, vers une anthropologie capillaire

Exposition
du 07 Juin au 13 Août 2011
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Arts plastiques
Institut français de Yaoundé (Centre Culturel Français) – 140 avenue du Président Ahmadou Ahidjo, BP 513 YAOUNDE – Cameroun
entrée libre

Français
L’exposition de Boris Nzébo, artiste gabonais vivant à Douala, se prolonge en août, pour le plus grand plaisir de nos yeux. Il nous présente 23 œuvres d’acrylique sur toile et papier.
« Dans chaque entrée, chaque sortie de nos quartiers populaires appelées Rue de la joie ou Carrefour je viens voir la vie, a lieu un interminable trafic de va-et-vient dans les loges, généralement surnommées ampoules rouges.
Femmes aux cheveux bien tressés, nattés, greffés ou défrisés inondent les trottoirs de la capitale, en lançant des regards très flatteurs à ceux par qui elles se feront désirer telles les flammes des lumières de la ville… » Boris Nzébo
« Au premier coup d’oeil, le travail de Boris Nzebo dénote une fascination pour la beauté. Puis, il y a ce rapport moins évident entre architectures urbaines et architectures capillaires qui semblent intuitivement inextricables.
Boris Nzebo offre aux regards curieux une réflexion originale sur ces visages connus et inconnus qui habitent les villes, et plus particulièrement sa ville: Douala. Quotidiennement, il observe des visages meurtris, écrasés, fatigués ou étouffés par la vieille ville. Une mégalopole marquée par de nombreuses architectures dégradées et le poids d’une urbanisation cohérente stoppée depuis longtemps. » Adeline Chapelle
« Dans chaque entrée, chaque sortie de nos quartiers populaires appelées Rue de la joie ou Carrefour je viens voir la vie, a lieu un interminable trafic de va-et-vient dans les loges, généralement surnommées ampoules rouges.
Femmes aux cheveux bien tressés, nattés, greffés ou défrisés inondent les trottoirs de la capitale, en lançant des regards très flatteurs à ceux par qui elles se feront désirer telles les flammes des lumières de la ville… » Boris Nzébo
« Au premier coup d’oeil, le travail de Boris Nzebo dénote une fascination pour la beauté. Puis, il y a ce rapport moins évident entre architectures urbaines et architectures capillaires qui semblent intuitivement inextricables.
Boris Nzebo offre aux regards curieux une réflexion originale sur ces visages connus et inconnus qui habitent les villes, et plus particulièrement sa ville: Douala. Quotidiennement, il observe des visages meurtris, écrasés, fatigués ou étouffés par la vieille ville. Une mégalopole marquée par de nombreuses architectures dégradées et le poids d’une urbanisation cohérente stoppée depuis longtemps. » Adeline Chapelle
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