Il avait plu sur la rose
de Nicaise Magloire Wegang, par la Cie Ngoti

Représentation
Le 07 Octobre 2011
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Théâtre
Institut français de Yaoundé (Centre Culturel Français) – 140 avenue du Président Ahmadou Ahidjo, BP 513 YAOUNDE – France
à 19h30 – 2000 fcfa / 1000 fcfa – Durée : 60 min

Français
Il avait plu sur la rose
Mise en scène de Serge Fouha, avec Charlotte Ntamack, Clémentine Abena Ahanda, Hermine Yollo. Régie : Steve Zambo, Décor : Eric Delphin Kwegoue.
Une femme enchaînée dans une salle d’interrogatoire… Une artiste calme, impassible, accusée d’un meurtre et qui tente d’expliquer la portée artistique de son « oeuvre ». En face d’elle, deux femmes : l’une est un juge, miroir de la justice populaire et de la société, l’autre est une femme artiste qui cherche à comprendre.
Au milieu, cet acte, ce « happening » qui devait arriver… De la femme ou de l’artiste, qui condamner, qui acquitter ?
Serge Fouha adapte ici un texte d’une jeune auteure camerounaise, à la langue poétique. Elle parle à la fois de viol, d’amour et de justice, et met dos-à-dos la passion et l’amour.
Une passion dévorante qui va pousser à un crime étrange et soutenu par des théories esthétiques.
« Une tragédie de l’amour et de l’engagement artistique » Mosaïques n°6
Mise en scène de Serge Fouha, avec Charlotte Ntamack, Clémentine Abena Ahanda, Hermine Yollo. Régie : Steve Zambo, Décor : Eric Delphin Kwegoue.
Une femme enchaînée dans une salle d’interrogatoire… Une artiste calme, impassible, accusée d’un meurtre et qui tente d’expliquer la portée artistique de son « oeuvre ». En face d’elle, deux femmes : l’une est un juge, miroir de la justice populaire et de la société, l’autre est une femme artiste qui cherche à comprendre.
Au milieu, cet acte, ce « happening » qui devait arriver… De la femme ou de l’artiste, qui condamner, qui acquitter ?
Serge Fouha adapte ici un texte d’une jeune auteure camerounaise, à la langue poétique. Elle parle à la fois de viol, d’amour et de justice, et met dos-à-dos la passion et l’amour.
Une passion dévorante qui va pousser à un crime étrange et soutenu par des théories esthétiques.
« Une tragédie de l’amour et de l’engagement artistique » Mosaïques n°6
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