Mémoire de la femme jument. Création danse
Un vibrant regard sur ce qui pourrait constituer l’univers d’une sans racine, d’une sans terre
Représentation
Le 04 Novembre 2011
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Danse
Blonba – Avenue de l’Oua. Faladié., bamako Bamako – Mali
Invitation sous réserve des places disponibles
Français
Au-delà de l’esthétique, Mémoire de la femme jument est un voyage dans la mémoire personnelle et collective, une quête identitaire au travers du mouvement des danses arabo-berbères traditionnelles.
Fruit d’une recherche au cœur même du mouvement, cette création est un chant d’amour et de réconciliation de la chorégraphe avec son héritage identitaire.
Saïda Naït-Bouda aborde ainsi sa filiation, à partir d’un contexte que l’histoire l’a poussé à couper d’elle-même.
Des photographies
comme origine de la création
Ce spectacle tire son origine de la découverte des portraits des visages de femmes algériennes photographiés par Marc Garanger pendant la guerre d’Algérie lors d’un recensement de la population autochtone.
Ces femmes ont été obligées d’enlever leur voile et leurs visages témoignent d’une protestation muette.
Par ces images, un lien se crée entre le besoin de reconstruire un héritage culturel perçu comme falsifié (car totalement issu de l’image orientaliste) et la vérité exprimée par les visages de ces femmes.
Un nouvel imaginaire est engendré et c’est dans les sources les plus profondes de la culture – les danses, les chants et les musiques – que le partage d’une mémoire collective devient authentiquement possible.
Fruit d’une recherche au cœur même du mouvement, cette création est un chant d’amour et de réconciliation de la chorégraphe avec son héritage identitaire.
Saïda Naït-Bouda aborde ainsi sa filiation, à partir d’un contexte que l’histoire l’a poussé à couper d’elle-même.
Des photographies
comme origine de la création
Ce spectacle tire son origine de la découverte des portraits des visages de femmes algériennes photographiés par Marc Garanger pendant la guerre d’Algérie lors d’un recensement de la population autochtone.
Ces femmes ont été obligées d’enlever leur voile et leurs visages témoignent d’une protestation muette.
Par ces images, un lien se crée entre le besoin de reconstruire un héritage culturel perçu comme falsifié (car totalement issu de l’image orientaliste) et la vérité exprimée par les visages de ces femmes.
Un nouvel imaginaire est engendré et c’est dans les sources les plus profondes de la culture – les danses, les chants et les musiques – que le partage d’une mémoire collective devient authentiquement possible.
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