Concert Christine Salem / Ensemble Soufi – Festival Africolor 2011
Dans le cadre du festival Africolor qui a lieu du 13 novembre au 17 décembre 2011 dans 19 villes de Seine-Saint-Denis à Bonneuil-sur-Marne (94) et à Achères (78)
Griots, Blues, afrobeat, folk et maloya donnent le ton de cette 23ème édition d’africolor

Festival
Le 13 Novembre 2011
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Espace Paul Eluard – Place Martel Pointet, 93240 Stains – France
16h00- 15€, TR : 8€

Français
* Christine Salem (Réunion)
Après avoir tourné pendant dix ans avec son groupe Salem Tradition, Christine Salem a entrepris un voyage initiatique dans l’Océan Indien, sur les îles de ses ancêtres. Des Comores à Madagascar, elle se laisse guider au gré des rencontres humaines et artistiques. De nouvelles sonorités viennent enrichir son répertoire et Soubi, un musicien comorien qui joue du dzenze, un instrument à cordes qui s’apparente à la valiha malgache, sera l’invité de son groupe de maloyeurs speedés pour le concert d’africolor.
* Ensemble Soufi Mtendeni Maulid (Zanzibar)
Seize hommes en rang, vêtus de kanzu et du kofia, les tenues blanches traditionnelles du Zanzibar, entonnent à l’unisson des chants sacrés de l’Islam noir. Debout ou à genoux, ils se balancent dans un mouvement qui évoque le roulement des vagues de l’océan. Les tambours accompagnent et rythment la cadence telle une longue ondulation serpentée.
Après avoir tourné pendant dix ans avec son groupe Salem Tradition, Christine Salem a entrepris un voyage initiatique dans l’Océan Indien, sur les îles de ses ancêtres. Des Comores à Madagascar, elle se laisse guider au gré des rencontres humaines et artistiques. De nouvelles sonorités viennent enrichir son répertoire et Soubi, un musicien comorien qui joue du dzenze, un instrument à cordes qui s’apparente à la valiha malgache, sera l’invité de son groupe de maloyeurs speedés pour le concert d’africolor.
* Ensemble Soufi Mtendeni Maulid (Zanzibar)
Seize hommes en rang, vêtus de kanzu et du kofia, les tenues blanches traditionnelles du Zanzibar, entonnent à l’unisson des chants sacrés de l’Islam noir. Debout ou à genoux, ils se balancent dans un mouvement qui évoque le roulement des vagues de l’océan. Les tambours accompagnent et rythment la cadence telle une longue ondulation serpentée.
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