Compagnie Rêvolution – Rage
La nouvelle création de la Compagnie Rêvolution place le corps au centre du propos. A. Egéa, cherche à provoquer les chocs culturels et expose l’énergie superbe de six danseurs Africains à la danse puissante, personnelle et au charisme redoutable.

Représentation
du 20 au 21 Mars 2012
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Danse
Scène Nationale de Bayonne et du Sud Aquitain – 1, rue Edouard Ducéré, 64100 Bayonne – France
mardi 20 & mercredi 21 mars 20h30 / théâtre de Bayonne /
tarifs : 15€ ; 20€ ; 24€ /
places numérotées
Français
Pour sa nouvelle création, Rage, le chorégraphe Anthony Egéa réunit six danseurs Africains pour une évocation de l’Afrique en une excitante confrontation entre le hip-hop, le krump, la danse contemporaine et les danses traditionnelles africaines.
La pièce
Rage comme l’esprit de rébellion qui agitait le hip-hop à ses débuts. Rage comme l’urgence d’exposer l’énergie superbe d’interprètes Africains, rencontrés lors d’une tournée.
Anthony Egéa n’a jamais eu peur des chocs culturels ; il les provoque plutôt. Son hip-hop s’est déjà frotté à la gestuelle contemporaine, aux arabesques du ballet classique. Aujourd’hui, c’est le krump qui l’inspire ; une danse née dans les ghettos noirs américains, après les émeutes de Los Angeles, avant d’être rattrapée par l’Afrique.
L’Afrique contemporaine est au centre de cette nouvelle création avec ses scènes de vie, les temps de palabre et de travail, avec la nuit aussi au cours de laquelle les corps s’oublient, communient par la danse (makossa et soukous font trembler les fessiers), la nuit qui vibre au rythme de la fête et qui fait oublier la pesanteur des journées.
avec
Raymond Siopathis (République Centrafricaine), Salah Keita (Mali), Djaroule Kévin Gaël Mvou Evrard(Gabon), Salim Mze Hamadi Moissi (Union des Comores), Kirsner Tsengou Dingha (Congo), Seibany Salif Traore (Burkina Faso)
La pièce
Rage comme l’esprit de rébellion qui agitait le hip-hop à ses débuts. Rage comme l’urgence d’exposer l’énergie superbe d’interprètes Africains, rencontrés lors d’une tournée.
Anthony Egéa n’a jamais eu peur des chocs culturels ; il les provoque plutôt. Son hip-hop s’est déjà frotté à la gestuelle contemporaine, aux arabesques du ballet classique. Aujourd’hui, c’est le krump qui l’inspire ; une danse née dans les ghettos noirs américains, après les émeutes de Los Angeles, avant d’être rattrapée par l’Afrique.
L’Afrique contemporaine est au centre de cette nouvelle création avec ses scènes de vie, les temps de palabre et de travail, avec la nuit aussi au cours de laquelle les corps s’oublient, communient par la danse (makossa et soukous font trembler les fessiers), la nuit qui vibre au rythme de la fête et qui fait oublier la pesanteur des journées.
avec
Raymond Siopathis (République Centrafricaine), Salah Keita (Mali), Djaroule Kévin Gaël Mvou Evrard(Gabon), Salim Mze Hamadi Moissi (Union des Comores), Kirsner Tsengou Dingha (Congo), Seibany Salif Traore (Burkina Faso)
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