Sortie du NOUVEL ALBUM DE MAD SHEER KHAN « FAR OUED » – 15 MAI 2012
l’album qui sort de sa réserve…

Manifestation
du 15 Mai au 15 Juin 2012
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique, Histoire/société, Interculturel/Migrations
– France
Ecoutez l’album sur son site.
Disponible dans tous les réseaux de distribution et sur www.madsheerkhan.com
Communiquez avec Mad Sheer Khan sur
www.facebook.com/madsheerkhan.musik
et www.myspace.com/madsheerkhan
Français
« Héritier des cultures arabes, persanes et françaises, Mad Sheer Khan, porte en lui la sagesse des voyageurs et le feu des artistes géniaux. » Il a initié depuis 1972 la venue des instruments traditionnels orientaux dans les musiques urbaines en solo et aux côtés d’artistes tels que Nico, muse du velvet Underground.
Après son adaptation très remarquée du répertoire de Jimi Hendrix et son dernier album très engagé « DemoNcracy », voici FAR OUED, hypnotique et irrésistible, bienvenue sur les territoires réjouissants de la tradition d’avant‐garde !
Far Oued, un boomerang, accrochez-vous ! Les inconditionnels de Rahmann, groupe mythique des années 70 de Mad Sheer Khan (alors Mahamad Hadi) vont retrouver avec « Nation » l’incomparable style du compositeur algéro-persan, les mordus de la scène éléctro londonienne vont continuer a surfer sur les sons de Nasha ou de Concrete Sunblock (Talisman), sans oublier les scotchés aux solos du « petit fils vaudou » de » Samarkand Hotel » envoutés lors du tour « In Spirit with Jimi Hendrix ».
« Far Oued », un casting historique… où les palestiniens sont les indiens de nos western
d’enfant, Gaza une réserve et les colons des cow-boys. Après 64 ans de guerre, on se prend à rêver d’ une fédération Israelo-Palestinienne respectueuse des êtres humains avec une Jérusalem, terre universelle indépendante, symbole d’une fraternité retrouvée, ouverte sur l’horizon du monde. 1962, « Charonne », gouttes de mélodie « à la Sati », enluminures sonores en forme de prière offertent aux manifestants pacifistes sacrifiés. Entre ballades et voyages rythmés au souffle de sa mémoire africaine et orientale, menés par le chant de l’harmonium indien de « Stones in Jerusalem » où, à s’y méprendre, nous pourrions regarder le ciel irlandais, où alors sur un des sentiers de l’amérique de la grande dépression de 1930 en scandant la protest song « Millions of me », arrêt sur image de crise, certains maux répétitifs de notre histoire sont posés ici avec pudeur, de Back to 67 à Charonne de Empire à I’m a Hippie, de Stone in Jerusalem à Awake, au grand jour pour mieux que cicatrisent les blessures, déminer les terrains pour partir vers d’autres horizons, ceux où la diversité est le fondement de l’unité.
Avec son fidèle dilruba (le violon du sitar) électrifié et magique, le « guitariste au turban » confronte ses origines afro-asiatiques aux vibrations urbaines, un électro rock tribal, la mixité du 21 siècle.
Pas moins engagé que l’album précédent, à la Woody Guthrie taguant sa guitare avec le message « This machine kills fascits », Mad Sheer Khan délivre « Far Oued ».
Un message, un album résolument tourné vers le futur, Far Oued commence par « Within you without you », perle indienne de G. Harrison dans l’album « Sergent Peppers Hearts Club Band, » des Beatles, joué également au Dilruba en 1967 et inspiré par Ravi Shankar, un hommage incontournable à la vie.
Après son adaptation très remarquée du répertoire de Jimi Hendrix et son dernier album très engagé « DemoNcracy », voici FAR OUED, hypnotique et irrésistible, bienvenue sur les territoires réjouissants de la tradition d’avant‐garde !
Far Oued, un boomerang, accrochez-vous ! Les inconditionnels de Rahmann, groupe mythique des années 70 de Mad Sheer Khan (alors Mahamad Hadi) vont retrouver avec « Nation » l’incomparable style du compositeur algéro-persan, les mordus de la scène éléctro londonienne vont continuer a surfer sur les sons de Nasha ou de Concrete Sunblock (Talisman), sans oublier les scotchés aux solos du « petit fils vaudou » de » Samarkand Hotel » envoutés lors du tour « In Spirit with Jimi Hendrix ».
« Far Oued », un casting historique… où les palestiniens sont les indiens de nos western
d’enfant, Gaza une réserve et les colons des cow-boys. Après 64 ans de guerre, on se prend à rêver d’ une fédération Israelo-Palestinienne respectueuse des êtres humains avec une Jérusalem, terre universelle indépendante, symbole d’une fraternité retrouvée, ouverte sur l’horizon du monde. 1962, « Charonne », gouttes de mélodie « à la Sati », enluminures sonores en forme de prière offertent aux manifestants pacifistes sacrifiés. Entre ballades et voyages rythmés au souffle de sa mémoire africaine et orientale, menés par le chant de l’harmonium indien de « Stones in Jerusalem » où, à s’y méprendre, nous pourrions regarder le ciel irlandais, où alors sur un des sentiers de l’amérique de la grande dépression de 1930 en scandant la protest song « Millions of me », arrêt sur image de crise, certains maux répétitifs de notre histoire sont posés ici avec pudeur, de Back to 67 à Charonne de Empire à I’m a Hippie, de Stone in Jerusalem à Awake, au grand jour pour mieux que cicatrisent les blessures, déminer les terrains pour partir vers d’autres horizons, ceux où la diversité est le fondement de l’unité.
Avec son fidèle dilruba (le violon du sitar) électrifié et magique, le « guitariste au turban » confronte ses origines afro-asiatiques aux vibrations urbaines, un électro rock tribal, la mixité du 21 siècle.
Pas moins engagé que l’album précédent, à la Woody Guthrie taguant sa guitare avec le message « This machine kills fascits », Mad Sheer Khan délivre « Far Oued ».
Un message, un album résolument tourné vers le futur, Far Oued commence par « Within you without you », perle indienne de G. Harrison dans l’album « Sergent Peppers Hearts Club Band, » des Beatles, joué également au Dilruba en 1967 et inspiré par Ravi Shankar, un hommage incontournable à la vie.
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