1ère Edition du festival La Rencontre des cordophones ou printemps des cordes
Promouvoir la musique traditionnelle au Niger

Festival
du 21 au 24 Avril 2012
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique
Niamey – Niger
Français
Le réseau Artériel Network, section du Niger a procédé du 21 au 24 avril 2012 au lancement officiel de la première édition du festival : « La rencontre des cordophones ou printemps des cordes » au CFPM de Niamey. Placé sous le haut patronage du ministre de la jeunesse, des sports et de la culture, cette grande manifestation artistique et musicale vise surtout à promouvoir la culture nigérienne en général et principalement la musique traditionnelle.
Cette manifestation culturelle consacrée à la musique traditionnelle vise également dans son objectif global à promouvoir la maîtrise et l’usage des instruments de musique à cordes. Tout en revalorisant les instruments traditionnels à cordes qui malheureusement sont en voie de disparition, ce festival entend aussi être le point de rencontre et d’échange entre les différents cordophonistes du Niger. Parmi les objectifs spécifiques visés à travers ce festival d’échanges, Le réseau Artériel Network, section du Niger entend donner une occasion aux cordophones de transmettre leur savoir-faire à la jeune génération, de promouvoir une coopération et une collaboration publique/privée entre le Centre de Formation et de la Promotion Musicale Elhadj Taya (CFPM) de Niamey et le réseau Artériel Network, section du Niger ou encore initier un répertoire des instruments de musique dans un délai court. Il faut rappeler que le choix du CFPM afin d’abriter cette importante fête musicale n’est pas un fait de hasard. Ainsi, selon les organisateurs de ce festival « le choix de collaborer avec le CFPM sur ce festival réside dans le souci du partenariat entre institution publique et institution de la société civile ». Ce festival dont la première édition a mobilisé une foule importante est destiné à toutes les couches socio du Niger. Il s’agit entre autres des groupes d’artistes, les joueurs des instruments musicaux, les associations des musiciens, les groupes musicaux ou encore le public spectateurs. Retenons que la première édition a enregistré la participation de plusieurs artistes du Niger. Nous pouvons entre autres cités : le groupe mahalba de Zinder, Bagué Rouki, Maman barka ou Maman Sani adamoulmoula de Niamey, Harouna Mai Gogué de Gaya ou Aragouza de Filingué, le groupe de joueurs de gogué de Taguimba Bouzou de Doutchi.
Cette manifestation culturelle consacrée à la musique traditionnelle vise également dans son objectif global à promouvoir la maîtrise et l’usage des instruments de musique à cordes. Tout en revalorisant les instruments traditionnels à cordes qui malheureusement sont en voie de disparition, ce festival entend aussi être le point de rencontre et d’échange entre les différents cordophonistes du Niger. Parmi les objectifs spécifiques visés à travers ce festival d’échanges, Le réseau Artériel Network, section du Niger entend donner une occasion aux cordophones de transmettre leur savoir-faire à la jeune génération, de promouvoir une coopération et une collaboration publique/privée entre le Centre de Formation et de la Promotion Musicale Elhadj Taya (CFPM) de Niamey et le réseau Artériel Network, section du Niger ou encore initier un répertoire des instruments de musique dans un délai court. Il faut rappeler que le choix du CFPM afin d’abriter cette importante fête musicale n’est pas un fait de hasard. Ainsi, selon les organisateurs de ce festival « le choix de collaborer avec le CFPM sur ce festival réside dans le souci du partenariat entre institution publique et institution de la société civile ». Ce festival dont la première édition a mobilisé une foule importante est destiné à toutes les couches socio du Niger. Il s’agit entre autres des groupes d’artistes, les joueurs des instruments musicaux, les associations des musiciens, les groupes musicaux ou encore le public spectateurs. Retenons que la première édition a enregistré la participation de plusieurs artistes du Niger. Nous pouvons entre autres cités : le groupe mahalba de Zinder, Bagué Rouki, Maman barka ou Maman Sani adamoulmoula de Niamey, Harouna Mai Gogué de Gaya ou Aragouza de Filingué, le groupe de joueurs de gogué de Taguimba Bouzou de Doutchi.
Partager :