Festival Photo La Gacilly – 9e édition
Peuples et nature : La Gacilly aux couleurs de Rio

Festival
du 01 Juin au 30 Septembre 2012
Horaires : 00:00
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Photo
La Gacilly – France
Dossier de presse
Français
Un été historique et prometteur ! En effet, le prochain sommet des Nations Unies sur le développement durable aura lieu à Rio de Janeiro en juin 2012, 20 ans après celui historique de 1992. Près de 50 000 personnes y sont attendues, des milliers d’ONG participeront aux travaux
et pas moins de 120 chefs d’Etat seront représentés pour se pencher au chevet de notre planète et relever les défis qui nous attendent demain. Car en vingt ans, notre monde a changé : nous venons de franchir la barre symbolique des 7 milliards d’habitants et notre terre accueille chaque jour plus 150 000 nouveaux humains ; la mondialisation
a engendré une mutation de nos paysages et accéléré le processus d’exode rural ; des mégapoles se sont érigées dans les pays émergents et ont bouleversé les habitudes de consommation ; les déserts, eux, ont progressé, et c’est toute une biodiversité qui s’en retrouve bouleversée.
Avec Rio +20, le temps est venu, certes d’évaluer les progrès réalisés, mais surtout de construire par une économie plus verte un monde durable.
En 2012, le Festival photo Peuples et Nature de La Gacilly (Morbihan) se veut être l’ambassadeur de ce sommet décisif. Le Brésil sera exceptionnellement l’invité d’honneur de cette neuvième édition, et nous souhaitons vous faire découvrir certains talents photographiques de ce pays devenu la 6ème puissance mondiale. Au XIXème siècle, le
Brésil ressemble encore à une terra incognita : Marc Ferrez en avait alors capté l’immensité vierge et ses villes naissantes ; José Medeiros, considéré comme le pionnier du photojournalisme brésilien, fut le premier à photographier les tribus non contactées d’Amazonie dans les années 50, montrant aussi la diversité raciale et sociale du pays ; Tyba, élue meilleure agence d’Amérique latine, nous offrira les meilleurs clichés de ses auteurs face au défi environnemental que connait aujourd’hui le Brésil. Le jeune Julio Bittencourt utilise la photographie comme « une sorte de mégaphone pour donner la parole aux sans voix
« , comme ici avec son impressionnant travail sur le 911 Prestes Maia, un immeuble de 22 étages à Sao Polo. Enfin, Anouk Garcia nous présentera le monde des indiens du Brésil entre chamanisme et communion avec la terre : dans la région de l’Acre, très loin des villes, les Huni Kuin hantent le Rio Jordao, temple de la biodiversité.
Extrait de l’édito du commissaire du festival, Cyril Drouhet
et pas moins de 120 chefs d’Etat seront représentés pour se pencher au chevet de notre planète et relever les défis qui nous attendent demain. Car en vingt ans, notre monde a changé : nous venons de franchir la barre symbolique des 7 milliards d’habitants et notre terre accueille chaque jour plus 150 000 nouveaux humains ; la mondialisation
a engendré une mutation de nos paysages et accéléré le processus d’exode rural ; des mégapoles se sont érigées dans les pays émergents et ont bouleversé les habitudes de consommation ; les déserts, eux, ont progressé, et c’est toute une biodiversité qui s’en retrouve bouleversée.
Avec Rio +20, le temps est venu, certes d’évaluer les progrès réalisés, mais surtout de construire par une économie plus verte un monde durable.
En 2012, le Festival photo Peuples et Nature de La Gacilly (Morbihan) se veut être l’ambassadeur de ce sommet décisif. Le Brésil sera exceptionnellement l’invité d’honneur de cette neuvième édition, et nous souhaitons vous faire découvrir certains talents photographiques de ce pays devenu la 6ème puissance mondiale. Au XIXème siècle, le
Brésil ressemble encore à une terra incognita : Marc Ferrez en avait alors capté l’immensité vierge et ses villes naissantes ; José Medeiros, considéré comme le pionnier du photojournalisme brésilien, fut le premier à photographier les tribus non contactées d’Amazonie dans les années 50, montrant aussi la diversité raciale et sociale du pays ; Tyba, élue meilleure agence d’Amérique latine, nous offrira les meilleurs clichés de ses auteurs face au défi environnemental que connait aujourd’hui le Brésil. Le jeune Julio Bittencourt utilise la photographie comme « une sorte de mégaphone pour donner la parole aux sans voix
« , comme ici avec son impressionnant travail sur le 911 Prestes Maia, un immeuble de 22 étages à Sao Polo. Enfin, Anouk Garcia nous présentera le monde des indiens du Brésil entre chamanisme et communion avec la terre : dans la région de l’Acre, très loin des villes, les Huni Kuin hantent le Rio Jordao, temple de la biodiversité.
Extrait de l’édito du commissaire du festival, Cyril Drouhet
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