Au cœur du Nil soufi
Chants et danses de Haute-Egypte

© Alain Weber – Nil soufi
Représentation
du 13 au 17 Juin 2012
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Musique, Danse
Théâtre Claude Lévi-Strauss – Musée du quai Branly – 37, quai Branly, 75007 Paris – France
Les 14,15 et 16 juin à 20h et le 17 juin à 17h /// 15€
Français
Une cérémonie dans un village de Haute-Egypte, dans la région de Louxor
Avec les munshiddin (chanteurs religieux) Sheir Hamid Hossein Ahmad, Sheikh Saoud et Sheikh Ghanan, ainsi qu’une quinzaine d’artistes.
Ce spectacle introduit par des images filmées, nous entraine dans l’univers des dhikr-s et hadra-s (les cérémonies soufies), un univers qui, grâce à la richesse des traditions populaires de Haute-Egypte, est unique dans le monde arabe.
Sur la place d’un village, une scène rudimentaire est dressée. Quelques bancs de bois accolés, des guirlandes d’ampoules en guise d’éclairage… La voix du munshid domine, sans cesse refaçonnée, privilégiant avant tout l’émotion loin du formalisme académique. Il recherche avant tout à communiquer ses sentiments, il recherche l’extase. En face, comme les guerriers d’une tribu antique, les hommes enturbannés penchent lentement leurs corps de gauche à droite, d’avant en arrière, c’est l’ébauche d’un tournoiement intense des bras et des épaules. La respiration haletante et saccadée devient anarchique et bientôt exultante et expiatoire.
Réalisation artistique : Alain Weber
Avec les munshiddin (chanteurs religieux) Sheir Hamid Hossein Ahmad, Sheikh Saoud et Sheikh Ghanan, ainsi qu’une quinzaine d’artistes.
Ce spectacle introduit par des images filmées, nous entraine dans l’univers des dhikr-s et hadra-s (les cérémonies soufies), un univers qui, grâce à la richesse des traditions populaires de Haute-Egypte, est unique dans le monde arabe.
Sur la place d’un village, une scène rudimentaire est dressée. Quelques bancs de bois accolés, des guirlandes d’ampoules en guise d’éclairage… La voix du munshid domine, sans cesse refaçonnée, privilégiant avant tout l’émotion loin du formalisme académique. Il recherche avant tout à communiquer ses sentiments, il recherche l’extase. En face, comme les guerriers d’une tribu antique, les hommes enturbannés penchent lentement leurs corps de gauche à droite, d’avant en arrière, c’est l’ébauche d’un tournoiement intense des bras et des épaules. La respiration haletante et saccadée devient anarchique et bientôt exultante et expiatoire.
Réalisation artistique : Alain Weber
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