Beneath the Surface – Steve Bloom
Une exposition de photographies de Steve Bloom prises dans les années 1970 et capturant un moment crucial de l’histoire de l’apartheid en Afrique du Sud.

© Bus stop, Cape Town, South Africa, 1976 © Steve Bloom /SteveBloom.com
Exposition
du 01 au 28 Juin 2012
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Photo
Guardian Gallery – Guardian News & Media, Kings Place, 90 York Way, London, N1 9GU, Londres – Royaume-Uni
Ouvert tous les jours de 10h à 18h. Entrée libre.
Français
1976 a été une année cruciale dans l’histoire de l’Afrique du Sud. Les premières fissures réelles dans le système d’apartheid de la ségrégation raciale sont apparues lorsque des écoliers noirs ont envahi les rues pour protester contre les nouvelles lois, qui avaient été introduites pour renforcer un système d’éducation inférieur. Les autorités ont riposté sans pitié, tuant et blessant de nombreux enfants sans défense. Ce fût le début de la fin de la complaisance des Blancs et du défaitisme des Noirs.
Le travail de Bloom dans l’Apartheid en Afrique du Sud, poignant et percutant, révèle l’aliénation d’un pays sur le point de changer et qui place Bloom parmi quelques autres photographes en bonne position pour capturer l’ambiance et le climat racial de l’époque.
Photographe de renommée internationale Steve Bloom est descendu dans les rues et les townships, pour photographier les gens dans ce moment historique. Certaines de ces photos capturent la tension de l’époque. D’autres, tels que les portraits de clochards, montrent le désespoir des personnes sous l’apartheid. Dans ses images, Bloom parvient à capturer l’essence émotionnelle complexe du moment en Afrique du Sud a commencé à éprouver un sentiment réel et irrésistible de contestation.
En 1977 (dans la même semaine où Steve Biko a été assassiné par la police de sécurité en Afrique du Sud) Steve Bloom se rend à Londres où, peu de temps après, la Défense Internationale et Fonds d’aide pour l’Afrique du Sud ont publié et exposé ces photos internationalement. En conséquence, il fut exilé de l’Afrique du Sud et n’a pu revenir qu’au bout de treize ans. Cette année marque le 35e anniversaire de la mort de Steve Biko et de même pour les images de Bloom, pas vus depuis des décennies, et qui fournissent un rappel opportun de cette période troublée, mais important dans l’histoire de l’Afrique du Sud.
Le travail de Bloom dans l’Apartheid en Afrique du Sud, poignant et percutant, révèle l’aliénation d’un pays sur le point de changer et qui place Bloom parmi quelques autres photographes en bonne position pour capturer l’ambiance et le climat racial de l’époque.
Photographe de renommée internationale Steve Bloom est descendu dans les rues et les townships, pour photographier les gens dans ce moment historique. Certaines de ces photos capturent la tension de l’époque. D’autres, tels que les portraits de clochards, montrent le désespoir des personnes sous l’apartheid. Dans ses images, Bloom parvient à capturer l’essence émotionnelle complexe du moment en Afrique du Sud a commencé à éprouver un sentiment réel et irrésistible de contestation.
En 1977 (dans la même semaine où Steve Biko a été assassiné par la police de sécurité en Afrique du Sud) Steve Bloom se rend à Londres où, peu de temps après, la Défense Internationale et Fonds d’aide pour l’Afrique du Sud ont publié et exposé ces photos internationalement. En conséquence, il fut exilé de l’Afrique du Sud et n’a pu revenir qu’au bout de treize ans. Cette année marque le 35e anniversaire de la mort de Steve Biko et de même pour les images de Bloom, pas vus depuis des décennies, et qui fournissent un rappel opportun de cette période troublée, mais important dans l’histoire de l’Afrique du Sud.
English
1976 was a critical year in South African history. The first real cracks in the apartheid system of racial segregation appeared when black school children took to the streets to protest against new laws, which had been introduced to reinforce an inferior education system. The authorities struck back ruthlessly, killing and wounding many defenseless children. It was a time of realisation: the beginning of the end of white complacency and black defeatism.
Bloom’s work in Apartheid South Africa, poignant and edgy, reveals the alienation of a country on the cusp of change-placing Bloom among a select few photographers in possession of the combined boldness and sensitivity of vision necessary to effectively capture the mood and charged racial climate of the time.
Internationally acclaimed photographer Steve Bloom took to the streets and the townships, photographing people in this pivotal historical moment. Some of the pictures, edgy and fleeting, capture the tension of the time. Others, such as portraits of down-and-outs, show the utter despair of people under apartheid. In his images, Bloom manages to capture the complex emotional essence of the moment South Africa began to experience unstoppable, real dissent.
In 1977 (in the same week that Steve Biko was murdered by security police in South Africa) Steve Bloom travelled to London where, soon after, the International Defense and Aid Fund for South Africa published and exhibited these photographs internationally. Consequently, he was exiled from South Africa and would not return for another thirteen years. This year marks the 35th anniversary of Steve Biko’s death and likewise Bloom’s images, not seen for decades, which provide a timely reminder of this troubled but important period in South Africa’s history.
Bloom’s work in Apartheid South Africa, poignant and edgy, reveals the alienation of a country on the cusp of change-placing Bloom among a select few photographers in possession of the combined boldness and sensitivity of vision necessary to effectively capture the mood and charged racial climate of the time.
Internationally acclaimed photographer Steve Bloom took to the streets and the townships, photographing people in this pivotal historical moment. Some of the pictures, edgy and fleeting, capture the tension of the time. Others, such as portraits of down-and-outs, show the utter despair of people under apartheid. In his images, Bloom manages to capture the complex emotional essence of the moment South Africa began to experience unstoppable, real dissent.
In 1977 (in the same week that Steve Biko was murdered by security police in South Africa) Steve Bloom travelled to London where, soon after, the International Defense and Aid Fund for South Africa published and exhibited these photographs internationally. Consequently, he was exiled from South Africa and would not return for another thirteen years. This year marks the 35th anniversary of Steve Biko’s death and likewise Bloom’s images, not seen for decades, which provide a timely reminder of this troubled but important period in South Africa’s history.
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