Exposition de l’artiste photographe iranien Arman Stepanian
Une exposition photos qui met l’accent sur les thèmes liés aux femmes et aux traditions persanes dans la société iranienne
Exposition
du 17 au 28 Novembre 2012
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Photo, Histoire/société, Interculturel/Migrations
Galerie Nicolas Flamel – 216, rue Saint Martin, 75003 Paris – France
Gratuit de 10h-14h et 16h-18h
Français
Arman Stepanian est né en 1956 à Abadan en Iran. A la fin de ses études secondaires, il développe un intérêt pour le design et il est admis à la Faculté des Beaux-Arts à l’Université de Téhéran en 1979.
Sa passion pour la photographie l’a amené à s’engager dans un programme de recherche très poussé sur l’histoire de la photographie. A la fin de ses recherches, fasciné par ce qu’il a découvert sur le monde de la photographie, il débute une carrière de photographe professionnel en 1998.
Sa vision était de ramener à la vie, le travail et l’art de poètes et d’artistes légendaires, créant ainsi une voie vers l’avenir. Arman Stepanian utilise sa caméra comme un outil pour donner vie à ses propres émotions et perceptions sur les expériences humaines telles que l’inquiétude et la tristesse.
Bien qu’Arman Stepanain ait obtenu son diplôme dans les années 70, il est considéré comme un artiste moderne et subjectif, ce qui en fait sa principale différence avec d’autres artistes qui œuvrent dans le même domaine. Cette exposition met l’accent sur les thèmes liés aux femmes et aux traditions persanes dans la société iranienne.
Arman Stepanian vit et travaille en Iran. Ses œuvres ont été exposées en Europe, aux USA et au Moyen-Orient.
Cette exposition est organisée par Ali Jamshidi, artiste iranien, qui expose ses œuvres mais qui promeut également celles de nombreux artistes iraniens. En 2005, il inaugure l’ouverture de la Galerie d’Art Shams à Téhéran. Depuis plusieurs années, il présente ses œuvres et celles des artistes iraniens sur le marché national et international à Dubaï, Paris et Londres dans le cadre de ventes aux enchères internationales Christie’s, Sotheby’s et Millon. Il participe en 2007, à l’Exposition « Mowlana » (Rumi) avec sa série de tableaux «Mowlana’s wishes » à l’Unesco à Paris. Trois de ses toiles de la série « Siayeh Negari » (regard noir) ont été acquises par le Musée National d’Art Islamique de Malaisie. En avril 2011, il présente à Paris, l’exposition « Effect » réalisée par des peintres iraniens vivant en France. En 2012, il expose à Paris, le peintre iranien Afjei (calligraphie).
Sa passion pour la photographie l’a amené à s’engager dans un programme de recherche très poussé sur l’histoire de la photographie. A la fin de ses recherches, fasciné par ce qu’il a découvert sur le monde de la photographie, il débute une carrière de photographe professionnel en 1998.
Sa vision était de ramener à la vie, le travail et l’art de poètes et d’artistes légendaires, créant ainsi une voie vers l’avenir. Arman Stepanian utilise sa caméra comme un outil pour donner vie à ses propres émotions et perceptions sur les expériences humaines telles que l’inquiétude et la tristesse.
Bien qu’Arman Stepanain ait obtenu son diplôme dans les années 70, il est considéré comme un artiste moderne et subjectif, ce qui en fait sa principale différence avec d’autres artistes qui œuvrent dans le même domaine. Cette exposition met l’accent sur les thèmes liés aux femmes et aux traditions persanes dans la société iranienne.
Arman Stepanian vit et travaille en Iran. Ses œuvres ont été exposées en Europe, aux USA et au Moyen-Orient.
Cette exposition est organisée par Ali Jamshidi, artiste iranien, qui expose ses œuvres mais qui promeut également celles de nombreux artistes iraniens. En 2005, il inaugure l’ouverture de la Galerie d’Art Shams à Téhéran. Depuis plusieurs années, il présente ses œuvres et celles des artistes iraniens sur le marché national et international à Dubaï, Paris et Londres dans le cadre de ventes aux enchères internationales Christie’s, Sotheby’s et Millon. Il participe en 2007, à l’Exposition « Mowlana » (Rumi) avec sa série de tableaux «Mowlana’s wishes » à l’Unesco à Paris. Trois de ses toiles de la série « Siayeh Negari » (regard noir) ont été acquises par le Musée National d’Art Islamique de Malaisie. En avril 2011, il présente à Paris, l’exposition « Effect » réalisée par des peintres iraniens vivant en France. En 2012, il expose à Paris, le peintre iranien Afjei (calligraphie).
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