Rage
Rage est une plongée dans l’Afrique contemporaine, nourrie de hip-hop, de danses traditionnelles et de krump. Une Afrique plurielle, belle et révoltée se dessine sous nos yeux.
Représentation
Le 22 Janvier 2013
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Danse
L’Hippodrome, scène nationale de Douai – place du Barlet, 59500 Douai – France
13/17/21 €20h
Français
Rage
Anthony Egéa – compagnie Rêvolution.
Ce spectacle est le fruit de la rencontre entre le chorégraphe Anthony Egéa et six danseurs de hip-hop issus de différents pays d’Afrique (Mali, Sénégal, Burkina Faso…). rage est une plongée dans l’Afrique contemporaine, nourrie de hip-hop, de danses traditionnelles et de krump. Né dans les ghettos de Los Angeles à l’issue des émeutes raciales de 1992, le krump est une danse de rébellion, instinctive et parfois proche de la transe. A partir d’un travail basé sur l’improvisation autour de cette danse, Anthony Egéa puise dans l’histoire et la personnalité de chaque danseur, la matière du spectacle. Sur le plateau, les scènes de vie s’égrennent, ponctuées par le « grin », terme malien qui, dans de nombreux pays d’Afrique, désigne une pause. Organisée par séquences, la chorégraphie alterne rêveries solitaires et réunions de groupe. Sorties en boîtes de nuit, rixes ou appels à la révolution naissent du mouvement des danseurs et du jeu de six enceintes figurant tour à tour un ring, une estrade, un trône… Forte de l’empreinte d’existences singulières, Rage porte en elle une énergie féroce, de celles qui permettent de conquérir le monde. C’est une Afrique plurielle, belle et révoltée qui se dessine sous nos yeux.
Anthony Egéa – compagnie Rêvolution.
Ce spectacle est le fruit de la rencontre entre le chorégraphe Anthony Egéa et six danseurs de hip-hop issus de différents pays d’Afrique (Mali, Sénégal, Burkina Faso…). rage est une plongée dans l’Afrique contemporaine, nourrie de hip-hop, de danses traditionnelles et de krump. Né dans les ghettos de Los Angeles à l’issue des émeutes raciales de 1992, le krump est une danse de rébellion, instinctive et parfois proche de la transe. A partir d’un travail basé sur l’improvisation autour de cette danse, Anthony Egéa puise dans l’histoire et la personnalité de chaque danseur, la matière du spectacle. Sur le plateau, les scènes de vie s’égrennent, ponctuées par le « grin », terme malien qui, dans de nombreux pays d’Afrique, désigne une pause. Organisée par séquences, la chorégraphie alterne rêveries solitaires et réunions de groupe. Sorties en boîtes de nuit, rixes ou appels à la révolution naissent du mouvement des danseurs et du jeu de six enceintes figurant tour à tour un ring, une estrade, un trône… Forte de l’empreinte d’existences singulières, Rage porte en elle une énergie féroce, de celles qui permettent de conquérir le monde. C’est une Afrique plurielle, belle et révoltée qui se dessine sous nos yeux.
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