Les Orientales 2013
Cinq jours durant au début de l’été, le Festival Les Orientales s’installe dans Saint-Florent-le-Vieil. Lieu de découvertes artistiques et d’échanges interculturels, cette manifestation singulière se réinvente depuis 1999.

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Poètes, conteurs, musiciens, danseurs, magiciens et acrobates viennent célébrer chaque année un Orient de musique, de voyage, de fête ou de méditation sur les rives de la Loire. La présence d’une centaine d’artistes, dont la créativité reflète les derniers vestiges d’un patrimoine mondial menacé, se confond avec l’atmosphère précieuse du site.
Du Caucase aux Balkans, de la chaine himalayenne de l’Asie centrale aux montagnes sardes, Les Orientales présentent ainsi les traditions de ces peuples des villages, des montagnes, des mers et des déserts, qui ont gardé la simplicité et le raffinement des temps anciens.
Le festival s’apprête à fêter sa quinzième année d’existence, ayant déjà accueilli 200 000 spectateurs et permis à 70 000 enfants de découvrir et de s’initier aux arts et musiques des pays d’Orient et d’Asie, de s’ouvrir aux univers culturels de l’Autre et de l’Ailleurs, d’appréhender la richesse des patrimoines immatériels qui composent notre monde.
Cette manifestation s’est acquise un public fidèle originaire de la région, désireux de rencontrer les arts oubliés des circuits occidentaux et de goûter à « cet orientalisme romantique qui relève autant du fantasme que de la réalité », ainsi que le suggère Alain Weber, directeur artistique du festival.
Du Caucase aux Balkans, de la chaine himalayenne de l’Asie centrale aux montagnes sardes, Les Orientales présentent ainsi les traditions de ces peuples des villages, des montagnes, des mers et des déserts, qui ont gardé la simplicité et le raffinement des temps anciens.
Le festival s’apprête à fêter sa quinzième année d’existence, ayant déjà accueilli 200 000 spectateurs et permis à 70 000 enfants de découvrir et de s’initier aux arts et musiques des pays d’Orient et d’Asie, de s’ouvrir aux univers culturels de l’Autre et de l’Ailleurs, d’appréhender la richesse des patrimoines immatériels qui composent notre monde.
Cette manifestation s’est acquise un public fidèle originaire de la région, désireux de rencontrer les arts oubliés des circuits occidentaux et de goûter à « cet orientalisme romantique qui relève autant du fantasme que de la réalité », ainsi que le suggère Alain Weber, directeur artistique du festival.
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