Projections ADY GASY au Festival Ard’Afrique – Les Vans (07)
Deux projections au cinéma Vivans
©
Français
synopsis
« Les Chinois fabriquent les objets, les Malgaches les réparent. » Il y a ceux qui font des chaussures à partir de pneus, ceux qui fabriquent des lampes à partir de boîtes de conserves, ceux qui fabriquent du savon et des médicaments à partir d’os de zébus… Rien ne se perd, tout se transforme. À Madagascar, les gens défient la crise avec inventivité sans perdre leur identité et leur sens de l’humour. En s’appuyant sur une tradition orale toujours digne, souvent enjouée ou cocasse, parfois désemparée ou révoltée, mais jamais amère.
bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=3UlHqwdkMVE
Télérama
"Un manifeste de résistance et de solidarité."
Le Monde
"Jamais misérabiliste, mais toujours attentif aux gestes qui transforment et façonnent, ce documentaire est émaillé d'un humour ravageur, ce qui ne gâche rien."
RFI (Radio France Internationale)
"Des portraits captivants, plein d'humour et d'optimisme. Ce film vaut bien des leçons d'économie"
Première
"À Madagascar on a le verbe plus riche que le compte en banque (…). Captivant"
Terra Eco
"Un bras d’honneur, festif et impertinent, à une forme de néocolonialisme bien-pensant qui dépouille des peuples en dévaluant leurs traditions et savoir-faire."
Trois Couleurs
"Passionnant"
AfriCiné
"Comment ne pas sortir ému et optimiste de la projection de ce bel hommage à la dignité humaine ?"
La Croix
"Aux indices économiques qui classent toujours le pays en fin de liste, ce documentaire made in Mada réplique qu’il existe d’autres richesses."
Les Fiches du Cinéma
"C’est à une véritable réflexion sur nos choix de civilisation, notre conception du progrès et de la richesse que nous invite ce film léger, joyeux et stimulant."
Africultures
"Ce documentaire ne cache jamais son jeu et c'est aussi là que se situe sa force, mais s'il s'impose naturellement, c'est aussi et sans doute surtout parce que sa forme correspond à son propos, que son existence tient elle aussi de la débrouille qu'il décrit et qu'il puise sa détermination dans ce qu'il défend avec une belle intensité."
« Les Chinois fabriquent les objets, les Malgaches les réparent. » Il y a ceux qui font des chaussures à partir de pneus, ceux qui fabriquent des lampes à partir de boîtes de conserves, ceux qui fabriquent du savon et des médicaments à partir d’os de zébus… Rien ne se perd, tout se transforme. À Madagascar, les gens défient la crise avec inventivité sans perdre leur identité et leur sens de l’humour. En s’appuyant sur une tradition orale toujours digne, souvent enjouée ou cocasse, parfois désemparée ou révoltée, mais jamais amère.
bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=3UlHqwdkMVE
Télérama
"Un manifeste de résistance et de solidarité."
Le Monde
"Jamais misérabiliste, mais toujours attentif aux gestes qui transforment et façonnent, ce documentaire est émaillé d'un humour ravageur, ce qui ne gâche rien."
RFI (Radio France Internationale)
"Des portraits captivants, plein d'humour et d'optimisme. Ce film vaut bien des leçons d'économie"
Première
"À Madagascar on a le verbe plus riche que le compte en banque (…). Captivant"
Terra Eco
"Un bras d’honneur, festif et impertinent, à une forme de néocolonialisme bien-pensant qui dépouille des peuples en dévaluant leurs traditions et savoir-faire."
Trois Couleurs
"Passionnant"
AfriCiné
"Comment ne pas sortir ému et optimiste de la projection de ce bel hommage à la dignité humaine ?"
La Croix
"Aux indices économiques qui classent toujours le pays en fin de liste, ce documentaire made in Mada réplique qu’il existe d’autres richesses."
Les Fiches du Cinéma
"C’est à une véritable réflexion sur nos choix de civilisation, notre conception du progrès et de la richesse que nous invite ce film léger, joyeux et stimulant."
Africultures
"Ce documentaire ne cache jamais son jeu et c'est aussi là que se situe sa force, mais s'il s'impose naturellement, c'est aussi et sans doute surtout parce que sa forme correspond à son propos, que son existence tient elle aussi de la débrouille qu'il décrit et qu'il puise sa détermination dans ce qu'il défend avec une belle intensité."
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