J’habite une blessure sacrée
Une danse en quête de sens qui fait d’un homme désarticulé un homme debout

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Représentation
du 04 au 08 Juillet 2018
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Danse, Histoire/société
Gare au théâtre – 13 rue Pierre Sémard, 94400 Vitry sur Seine – France
Les mercredi 4, jeudi 5, vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 juillet 2018 à 19h
Français
Cie Boukousou
Danse Contemporaine
Comment transformer le chaos du monde ? Dans quelle mesure la violence de l’oppression résonne-t-elle dans notre corps individuel ? J’habite une blessure sacrée slalome entre déséquilibre et enracinement, douceur et force, intimité et ouverture. Ce solo est conçu comme un dialogue intérieur naviguant entre deux nécessités qui s’entrecroisent : la quête spirituelle et la lutte émancipatrice.
La création vidéo est une composante essentielle de ce spectacle. À la fois décor et reflet de l’’état d’esprit du danseur, elle matérialise le dialogue du personnage avec son double. C’est ainsi que l’ombre du danseur prend vie et dialogue avec lui. Ce parcours d’émancipation porte l’ombre à devenir personnage. Ce personnage joue, danse et interagit avec le danseur, commence à se démultiplier pour devenir enfin foule, symbole de l’engagement politique de la pièce.
Chorégraphie et Interprétation : Max Diakok / Dramaturgie : Lucile Pérain / Vidéo Et Scénographie : Claudio Cavallari / Création Musicale : Rico Toto / Création Lumière : Johann Chauveau / Régie : Antony Valentin
Danse Contemporaine
Comment transformer le chaos du monde ? Dans quelle mesure la violence de l’oppression résonne-t-elle dans notre corps individuel ? J’habite une blessure sacrée slalome entre déséquilibre et enracinement, douceur et force, intimité et ouverture. Ce solo est conçu comme un dialogue intérieur naviguant entre deux nécessités qui s’entrecroisent : la quête spirituelle et la lutte émancipatrice.
La création vidéo est une composante essentielle de ce spectacle. À la fois décor et reflet de l’’état d’esprit du danseur, elle matérialise le dialogue du personnage avec son double. C’est ainsi que l’ombre du danseur prend vie et dialogue avec lui. Ce parcours d’émancipation porte l’ombre à devenir personnage. Ce personnage joue, danse et interagit avec le danseur, commence à se démultiplier pour devenir enfin foule, symbole de l’engagement politique de la pièce.
Chorégraphie et Interprétation : Max Diakok / Dramaturgie : Lucile Pérain / Vidéo Et Scénographie : Claudio Cavallari / Création Musicale : Rico Toto / Création Lumière : Johann Chauveau / Régie : Antony Valentin
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