Khoudha sur la route quotidienne
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Exposition
du 10 Novembre au 31 Décembre 2021
Horaires : 14:00
Horaires : 14:00
Musique, Arts plastiques, Patrimoine
Tunis – Tunisie
De 14h à 16h30 tous les jours sauf le lundi.
Tarif appliqué est celui du site archéologique. Gratuité pour tout le corps de l'enseignement, pour les tunisiens résidents à l'étranger, pour les handicapés et les personnes les accompagnants. Demi tarif pour les plus de soixante ans.
Le premier dimanche du mois, l'entrée est gratuite pour tout le monde.
Français
La villa romaine dite de la volière, l’un des édifices des plus importants du site de Carthage, accueille pour la première fois une exposition d'art contemporain de l'artiste visuelle protéïforme Mouna Jemal Siala.
L'exposition s'intitule "Khoudha" sur la route quotidienne et elle est pluridisciplinaire. Cela va du dessin, à la vidéo, à la photographie… et même à la musique dans le volet "3rubi", en collaboration avec l'artiste compositeur et violoniste Zied Zouari.
"Entamée depuis 2018, cette exposition est guidée par mon vécu, par mon quotidien, mais aussi par une profondeur liée à l’histoire de mon pays, la Tunisie.
Le mot "Khoudha", choisi pour intituler cette exposition, a curieusement deux significations contradictoires dans le dialecte tunisien et dans l’arabe littéral. Dans la terminologie populaire, il signifie "gabegie, désordre, manque d'harmonie". En langue arabe écrite, il signifie entre autres "perle". Dans mon œuvre, j’ai tenté de démystifier ce paradoxe et de l’exploiter pour montrer que, en fin de compte, les deux vocables sont intimement liés, voire complémentaires ; ce qui me permet, de tenter de transformer le laid matériel en beau plastique".
Mouna Jemal Siala
L'exposition s'intitule "Khoudha" sur la route quotidienne et elle est pluridisciplinaire. Cela va du dessin, à la vidéo, à la photographie… et même à la musique dans le volet "3rubi", en collaboration avec l'artiste compositeur et violoniste Zied Zouari.
"Entamée depuis 2018, cette exposition est guidée par mon vécu, par mon quotidien, mais aussi par une profondeur liée à l’histoire de mon pays, la Tunisie.
Le mot "Khoudha", choisi pour intituler cette exposition, a curieusement deux significations contradictoires dans le dialecte tunisien et dans l’arabe littéral. Dans la terminologie populaire, il signifie "gabegie, désordre, manque d'harmonie". En langue arabe écrite, il signifie entre autres "perle". Dans mon œuvre, j’ai tenté de démystifier ce paradoxe et de l’exploiter pour montrer que, en fin de compte, les deux vocables sont intimement liés, voire complémentaires ; ce qui me permet, de tenter de transformer le laid matériel en beau plastique".
Mouna Jemal Siala
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