50e anniversaire de l’indépendance du Maroc : des impasses aux ouvertures
Dans le cadre des Jeudis de l’IMA

Conférence-débat
Le 23 Février 2006
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Histoire/société
Institut du Monde arabe – 1 rue des Fossés-saint-Bernard
Place Mohammed V, 75005 Paris –
Français
à 18 h 30 – Salle du Haut-Conseil
Le 16 novembre 1955, le Roi Mohammed V, revenu de son exil à Madagascar, prononçait un discours fondateur dans lequel il annonçait la « fin du régime de tutelle et de protectorat » et « une ère de liberté et d’indépendance ». Cinquante ans après ce véritable tournant historique, l’heure est au bilan. Le processus de démocratisation que connaît le Maroc l’autorise largement.
Parmi les questions qui ne manqueront pas d’être soulevées : Qu’est ce qui a changé avec l’avènement du Roi Mohammed VI dans les domaines économiques, politiques, culturels et dans celui des libertés individuelles ? Que faut-il penser de l’islamisation croissante de la société ? Comment répondre à la modernisation forcée dictée par l’accord d’association avec l’Union européenne, comme aussi par l’accord de libre échange signé avec les États-Unis ? Comment endiguer l’exode massif des populations rurales ?
Des chercheurs, professeurs et spécialistes tenteront de dresser au cours de cette rencontre un premier bilan des transitions en cours.
INTERVENANTS
> Hassan Abouyoub, ancien ambassadeur du Maroc en France
> Rachid Benmokhtar-Benabdellah : doyen de l’université Al-Akhawayn d’Ifrane.
> Najat M’jid : médecin-pédiatre, présidente fondatrice de Bayti, consultante nationale et internationale dans le domaine de la promotion des Droits de l’Enfant, Prix des Droits de l’Homme, (France, 2000).
> Abdellah Ben Mlih : politologue, enseignant en sciences politiques et consultant pour un cabinet de conseil. Il est l’auteur de Structure politique du Maroc colonial paru aux éditions L’Harmattan, et de Maroc, mémoire d’avenir paru aux éditions Albert-Khan.
> Noureddine El Aoufi, professeur à l’université Mohammed V, faculté des sciences juridiques, économiques et sociales, (Maroc). Directeur de la revue Critique économique.
> Fathallah Sijilmassi : ambassadeur du Maroc
> Mohamed Tozy, professeur de sciences politiques à l’université Hassan-II de Casablanca, chercheur associé en sociologie à la direction du Développement rural, Institut agronomique et vétérinaire, au CERI (CNRS), premier vice-président de l’Association marocaine des sciences politiques. Parutions récentes : Monarchie et islam politique (éd. CNRS/PFNSP, 1999), Les Puissances du symbole (Casablanca, 1997), Décentralisation et pratiques locales du développement, (éd. université Hassan-II, 1996).
Le 16 novembre 1955, le Roi Mohammed V, revenu de son exil à Madagascar, prononçait un discours fondateur dans lequel il annonçait la « fin du régime de tutelle et de protectorat » et « une ère de liberté et d’indépendance ». Cinquante ans après ce véritable tournant historique, l’heure est au bilan. Le processus de démocratisation que connaît le Maroc l’autorise largement.
Parmi les questions qui ne manqueront pas d’être soulevées : Qu’est ce qui a changé avec l’avènement du Roi Mohammed VI dans les domaines économiques, politiques, culturels et dans celui des libertés individuelles ? Que faut-il penser de l’islamisation croissante de la société ? Comment répondre à la modernisation forcée dictée par l’accord d’association avec l’Union européenne, comme aussi par l’accord de libre échange signé avec les États-Unis ? Comment endiguer l’exode massif des populations rurales ?
Des chercheurs, professeurs et spécialistes tenteront de dresser au cours de cette rencontre un premier bilan des transitions en cours.
INTERVENANTS
> Hassan Abouyoub, ancien ambassadeur du Maroc en France
> Rachid Benmokhtar-Benabdellah : doyen de l’université Al-Akhawayn d’Ifrane.
> Najat M’jid : médecin-pédiatre, présidente fondatrice de Bayti, consultante nationale et internationale dans le domaine de la promotion des Droits de l’Enfant, Prix des Droits de l’Homme, (France, 2000).
> Abdellah Ben Mlih : politologue, enseignant en sciences politiques et consultant pour un cabinet de conseil. Il est l’auteur de Structure politique du Maroc colonial paru aux éditions L’Harmattan, et de Maroc, mémoire d’avenir paru aux éditions Albert-Khan.
> Noureddine El Aoufi, professeur à l’université Mohammed V, faculté des sciences juridiques, économiques et sociales, (Maroc). Directeur de la revue Critique économique.
> Fathallah Sijilmassi : ambassadeur du Maroc
> Mohamed Tozy, professeur de sciences politiques à l’université Hassan-II de Casablanca, chercheur associé en sociologie à la direction du Développement rural, Institut agronomique et vétérinaire, au CERI (CNRS), premier vice-président de l’Association marocaine des sciences politiques. Parutions récentes : Monarchie et islam politique (éd. CNRS/PFNSP, 1999), Les Puissances du symbole (Casablanca, 1997), Décentralisation et pratiques locales du développement, (éd. université Hassan-II, 1996).
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