Festival International Parole d’Aïeux (FIPA)
Festival
Se déroule en Novembre
Théâtre
Akonolinga et Ayos – Cameroun
Français
Le Festival International Parole d’Aïeux (en abrégé FIPA) est un rende-vous biennal de promotion des traditions orales d’Afrique et d’ailleurs. C’est un rassemblement d’écrivains, d’interprètes, d’éditeurs et des jeunes amateurs qui œuvrent pour la vulgarisation des genres oraux.
L’oralité étant menacée de disparition, une rencontre de cette nature aura un double impact positif sur les populations. D’abord, faire découvrir à la jeunesse et au reste du monde la diversité culturelle de l’oralité. Ensuite, c’est l’occasion de redynamiser la pratique du conte et de la communication dans les familles. L’absence de communication crée justement un fossé entre les générations car la transmission des valeurs éthiques n’est plus assurée.
Le choix d’implanter le site du festival à Akonolinga et Ayos est stratégique. Villes satellites à la capitale politique camerounaise, Akonolinga et Ayos ont un passé historique riche et des peuples qui ont une forte culture de l’oralité. Les contes, les épopées, devinettes et autres chants et fables sont autant de modes de communication usuels des populations locales. La parole circule à l’instar des eaux du fleuve Nyong qui coulent entre les deux cités. L’aspect touristique des sites du festival reflète l’univers de contes africains. La nature, le relief et la démographie constituent une véritable Afrique en miniature.
Essouma Long
L’oralité étant menacée de disparition, une rencontre de cette nature aura un double impact positif sur les populations. D’abord, faire découvrir à la jeunesse et au reste du monde la diversité culturelle de l’oralité. Ensuite, c’est l’occasion de redynamiser la pratique du conte et de la communication dans les familles. L’absence de communication crée justement un fossé entre les générations car la transmission des valeurs éthiques n’est plus assurée.
Le choix d’implanter le site du festival à Akonolinga et Ayos est stratégique. Villes satellites à la capitale politique camerounaise, Akonolinga et Ayos ont un passé historique riche et des peuples qui ont une forte culture de l’oralité. Les contes, les épopées, devinettes et autres chants et fables sont autant de modes de communication usuels des populations locales. La parole circule à l’instar des eaux du fleuve Nyong qui coulent entre les deux cités. L’aspect touristique des sites du festival reflète l’univers de contes africains. La nature, le relief et la démographie constituent une véritable Afrique en miniature.
Essouma Long
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