Fiche Film
Cinéma/TV
MOYEN Métrage | 2003
Gulpilil : One Red Blood
Pays concerné : Australie
Durée : 56 minutes
Genre : portrait
Type : documentaire
Français
Réservations auprès de ArtMattan Productions (www.africanfilm.com)
Langue : Anglais
L’acteur aborigène et icône australienne David Gulpilil à vécu deux styles de vie très différents. D’un côté sa vie de star du cinéma et à l’extrême opposée sa vie d’ancien d’un village aborigène. Darlene Johnson, réalisatrice, a réussi à immortaliser sur pellicule ses deux vies dans son documentaire biographique Gulpilil : One Red Blood. A l’âge de 17 ans, David Gulpilil entra dans l’histoire comme premier acteur aborigène à apparaître dans un film (La randonnée de Nicolas Roeg, en 1971). Ce fut le début d’une carrière d’acteur exceptionnelle, avec pour point d’orgue l’obtention de nombreuses récompenses ainsi que de la médaille de l’Ordre d’Australie. Pendant tout ce temps, David Gulpilil resta fidèle à sa culture en acceptant des responsabilités au sein de son clan, impliquant qu’il vive dans une maison primitive et qu’il procure à manger et à boire pour tous les membres de son foyer. Au fil de rencontres sincères avec l’acteur dans ses deux vies (David vit dans un abri en toile et parle facilement du manque de confort de sa demeure ainsi que du fait qu’il ait été exploité au cours de sa carrière), Darlene Johnson rend compte des différences qui persistent entre la population indigène d’Australie et la population blanche installée relativement récemment.
Langue : Anglais
L’acteur aborigène et icône australienne David Gulpilil à vécu deux styles de vie très différents. D’un côté sa vie de star du cinéma et à l’extrême opposée sa vie d’ancien d’un village aborigène. Darlene Johnson, réalisatrice, a réussi à immortaliser sur pellicule ses deux vies dans son documentaire biographique Gulpilil : One Red Blood. A l’âge de 17 ans, David Gulpilil entra dans l’histoire comme premier acteur aborigène à apparaître dans un film (La randonnée de Nicolas Roeg, en 1971). Ce fut le début d’une carrière d’acteur exceptionnelle, avec pour point d’orgue l’obtention de nombreuses récompenses ainsi que de la médaille de l’Ordre d’Australie. Pendant tout ce temps, David Gulpilil resta fidèle à sa culture en acceptant des responsabilités au sein de son clan, impliquant qu’il vive dans une maison primitive et qu’il procure à manger et à boire pour tous les membres de son foyer. Au fil de rencontres sincères avec l’acteur dans ses deux vies (David vit dans un abri en toile et parle facilement du manque de confort de sa demeure ainsi que du fait qu’il ait été exploité au cours de sa carrière), Darlene Johnson rend compte des différences qui persistent entre la population indigène d’Australie et la population blanche installée relativement récemment.
English
To be ordered from ArtMattan Productions (www.africanfilm.com)
Language: English
Legendary Aboriginal actor and Australian icon David Gulpilil’s life has been one of dueling lifestyles, with his jet-setting movie star life on a completely different plane from his life as an Aboriginal village elder, and director Darlene Johnson manages to capture intimate details from both lifestyles in her 2003 biographical documentary Gulpilil: One Red Blood. At the age of 17, Gulpilil made history as the first Aboriginal actor to appear on film – in Nicolas Roeg’s 1971 Walkabout – which, in turn, led to an historic acting career that culminated in his receiving numerous awards and an Order of Australia medal. All the while, Gulpilil remained true to his culture by accepting his tribal responsibilities, which include living in a primitive house and procuring his household’s daily food and water. As Johnson films a number of very candid encounters with the actor in both settings – David lives in a tent shed and is quite open about the lack of facilities in his abode and the exploitation he’s experienced during his career – she documents the class differences that still exist between the indigenous population of Australia versus the relatively new white population.
Language: English
Legendary Aboriginal actor and Australian icon David Gulpilil’s life has been one of dueling lifestyles, with his jet-setting movie star life on a completely different plane from his life as an Aboriginal village elder, and director Darlene Johnson manages to capture intimate details from both lifestyles in her 2003 biographical documentary Gulpilil: One Red Blood. At the age of 17, Gulpilil made history as the first Aboriginal actor to appear on film – in Nicolas Roeg’s 1971 Walkabout – which, in turn, led to an historic acting career that culminated in his receiving numerous awards and an Order of Australia medal. All the while, Gulpilil remained true to his culture by accepting his tribal responsibilities, which include living in a primitive house and procuring his household’s daily food and water. As Johnson films a number of very candid encounters with the actor in both settings – David lives in a tent shed and is quite open about the lack of facilities in his abode and the exploitation he’s experienced during his career – she documents the class differences that still exist between the indigenous population of Australia versus the relatively new white population.
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