« Dans Revolutionaries Love Life, Hendricks entreprend un road trip avec son frère Daniel, lui-même sur une mauvaise pente  : toxicomane, sans emploi, sur le point d’avoir un enfant et aucune opportunité. Les deux frères suivent les traces d’un soldat MK qui se rendit au Zimbabwe mais qui y mourut, sans que son corps ne soit jamais retourné. Sur la route, ils discutent du passé et du présent avec des Sud-Africains. Ils discutent de La Lutte (l’exil, la violence, la perte de proches, les idéaux politiques) mais aussi des luttes de tous les jours  : la pauvreté, la mémoire, l’isolement, le désespoir.
Alors que Daniel ,sans aucune logique, s’enthousiasme de tous les gens qu’ils rencontrent, ce qu’ils ont à dire et ce qu’il apprend, Riaan vieillit, mûrit et devient encore plus mélancolique qu’il ne l’était déjà. »

In Revolutionaries Love Life, Hendricks takes a road trip with his brother Daniel, who is not in a good way: drug-addicted, jobless, a baby coming and few prospects. The brothers follow the path of an MK soldier who went to Zimbabwe but died there, his body never making it home. Along the way they talk to South Africans about the past and the present; about The Struggle – exile, violence, losing people, political ideals – and about the struggles that can make up daily life: poverty, memory, loneliness, despair.
While Daniel becomes erratically enthused by the people they meet, their conversations and what he learns, Riaan gets older, wiser and still more melancholic.