Fiche Groupe
Musique
The Ethiopians
Jamaïque

Genre : Groupe de musique
Français
Créé en 1966 par les Jamaïquains Leonard Dillon, Stephen Taylor – malheureusement décédé en 1975 – et Aston Morris qui quitta le groupe dès 1966, The Ethiopians est un des groupes les plus appréciés de l’histoire du roots reggae.
Leonard Dillon sort quelques titres en solo avant de rencontrer les deux jeunes hommes. Il leur propose de s’associer pour fonder un groupe : les Ethiopians. De leur collaboration sort le premier single « Live Good » en 1966. La même année Aston Morris quitte le groupe et laisse les deux autres compères continuer. C’est principalement Leonard Dillon qui écrit les textes des chansons du groupe. Il s’inspire de ses expériences du ghetto, il critique le racisme et parle de ce continent qu’ils ont dû quitter par la force des colonisateurs : l’Afrique… En 1967, le single « Train to Skaville » sort ; c’est leur premier gros tube. Ils enchaînent avec « The Whip » où pour la première fois sur morceau reggae on insère des percussions. Ils sortent en 1968 « Everything Crash », qui devient un autre succès.
Après la mort de Stephen Taylor en 1975, Leonard Dillon se retire de la musique quelque temps, n’arrivant pas accepter la mort de son ami. Deux ans plus tard, il recrée le groupe ; puis il enregistre quelques titres en solo avant de faire des tournées en backing band, notamment celle de Max Romeo dernièrement.
Leonard Dillon sort quelques titres en solo avant de rencontrer les deux jeunes hommes. Il leur propose de s’associer pour fonder un groupe : les Ethiopians. De leur collaboration sort le premier single « Live Good » en 1966. La même année Aston Morris quitte le groupe et laisse les deux autres compères continuer. C’est principalement Leonard Dillon qui écrit les textes des chansons du groupe. Il s’inspire de ses expériences du ghetto, il critique le racisme et parle de ce continent qu’ils ont dû quitter par la force des colonisateurs : l’Afrique… En 1967, le single « Train to Skaville » sort ; c’est leur premier gros tube. Ils enchaînent avec « The Whip » où pour la première fois sur morceau reggae on insère des percussions. Ils sortent en 1968 « Everything Crash », qui devient un autre succès.
Après la mort de Stephen Taylor en 1975, Leonard Dillon se retire de la musique quelque temps, n’arrivant pas accepter la mort de son ami. Deux ans plus tard, il recrée le groupe ; puis il enregistre quelques titres en solo avant de faire des tournées en backing band, notamment celle de Max Romeo dernièrement.
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