Littérature / édition
ROMAN | Octobre 2008
Petits blancs vous serez tous mangés
Jean Chatenet

Edition : Éditions Grandvaux
Pays d’édition : France
ISBN : 978-2-909550-54-1
Pages: 340
Prix : 15.00
Parution : 08 Octobre 2008
Français
Voici la réédition d’un des livres les plus intelligents écrit sur l’Afrique.
Le sens du récit de Jean Chatenet, son regard juste et tendre sur une Afrique bien mal partie permettent à chacun de « se faire une idée ».
Car l’auteur ne juge pas.
Il crée des personnages tous imaginaires à partir d’évènements vécus.
Passionnant.
On compare souvent l’Afrique à un chaudron, image commode pour qui se tient à l’extérieur. Cette histoire se place au contraire à l’intérieur de l’Afrique. Elle ne l’utilise pas comme décor, mais se meut dans le milieu réel où se frottent les formes infinies de l’espoir et de l’injustice. Beaucoup de personnages sont des Africains, bien sûr, mais les deux principaux sont des Blancs. L’un, André Juvénal, planté depuis assez longtemps en terre africaine pour désirer et redouter à la fois d’y prendre racine.
L’autre, Christian Marion, que son métier de journaliste a envoyé là pour tout juger en un clin d’oeil.
Mais au contact de Juvénal, et jusque dans sa fin tragique, Marion découvre ce qui se cache derrière les paysages fascinants, la menace étouffante de la forêt, les secrets inavouables de la ville noire-blanche.
Il découvre la pire des maladies tropicales : la certitude d’en savoir assez long sur l’Afrique pour ne rien apprendre d’elle.
Le sens du récit de Jean Chatenet, son regard juste et tendre sur une Afrique bien mal partie permettent à chacun de « se faire une idée ».
Car l’auteur ne juge pas.
Il crée des personnages tous imaginaires à partir d’évènements vécus.
Passionnant.
On compare souvent l’Afrique à un chaudron, image commode pour qui se tient à l’extérieur. Cette histoire se place au contraire à l’intérieur de l’Afrique. Elle ne l’utilise pas comme décor, mais se meut dans le milieu réel où se frottent les formes infinies de l’espoir et de l’injustice. Beaucoup de personnages sont des Africains, bien sûr, mais les deux principaux sont des Blancs. L’un, André Juvénal, planté depuis assez longtemps en terre africaine pour désirer et redouter à la fois d’y prendre racine.
L’autre, Christian Marion, que son métier de journaliste a envoyé là pour tout juger en un clin d’oeil.
Mais au contact de Juvénal, et jusque dans sa fin tragique, Marion découvre ce qui se cache derrière les paysages fascinants, la menace étouffante de la forêt, les secrets inavouables de la ville noire-blanche.
Il découvre la pire des maladies tropicales : la certitude d’en savoir assez long sur l’Afrique pour ne rien apprendre d’elle.
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