Littérature / édition
ACTUALITé, POLITIQUE |
Afrique, la mondialisation et le ballon rond (l’)

Revue : Afrique contemporaine
Prix : 65.00
Français
Le continent africain n’est pas un territoire à la marge du sport
roi et de ses dynamiques globales. Depuis son importation en
Afrique du Sud dans la deuxième moitié du XIXe siècle jusqu’à la phase finale de la Coupe du monde de football 2010, les circulations de joueurs, d’argents, de normes et de représentations
entre l’Afrique et le reste du monde ont été constantes. Bolsmann,
dans son article sur l’introduction et la structuration du football
en Afrique du Sud, berceau du football sur le continent, décrit les équipes africaines comme les pionnières de la mondialisation du football. À la fin du XIXe siècle, cinq ans avant même la création officielle de la FIFA, elles ont été les toutes premières à traverser les mers pour jouer en Europe et en Amérique du Sud. « Le football sud-africain, « noir » ou « blanc », a été capital dans la popularisation et l’internationalisation de ce sport en Europe et en Amérique du Sud », affirme Bolsmann.
Extrait de l’introduction de Nicolas Courtin, Raphaël Jozan
roi et de ses dynamiques globales. Depuis son importation en
Afrique du Sud dans la deuxième moitié du XIXe siècle jusqu’à la phase finale de la Coupe du monde de football 2010, les circulations de joueurs, d’argents, de normes et de représentations
entre l’Afrique et le reste du monde ont été constantes. Bolsmann,
dans son article sur l’introduction et la structuration du football
en Afrique du Sud, berceau du football sur le continent, décrit les équipes africaines comme les pionnières de la mondialisation du football. À la fin du XIXe siècle, cinq ans avant même la création officielle de la FIFA, elles ont été les toutes premières à traverser les mers pour jouer en Europe et en Amérique du Sud. « Le football sud-africain, « noir » ou « blanc », a été capital dans la popularisation et l’internationalisation de ce sport en Europe et en Amérique du Sud », affirme Bolsmann.
Extrait de l’introduction de Nicolas Courtin, Raphaël Jozan
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