Littérature / édition
ROMAN | Juin 2011
trophée des capitaux (Le)
Guy Régis Jr
Edition : Vents d’ailleurs
Pays d’édition : France
ISBN : 978-2-911412-85-1
Pages: 128
Prix : 12.00
Parution : Juin 2011
Français
D’éclairs de pensée. Point. Ni même plus d’étonnement. Si point de rêves. Point de pensées. Plus d’Utopia. C’est l’avènement de l’esprit fatigué.
Dans un décor de fin du monde, entre le feu et le vent, le cri et le silence, des jeunes gens, enfants de la réparation, enfants de la préparation, immobiles au-dessus du morne, refusent de jeter ne serait-ce qu’un seul regard à la ville en proie aux flammes, ils sont là, ils sont plongés dans leurs livres, plongés dans la mémoire des aïeux qui ont fait cette ville, qui ont vécu ce que vit le cœur de cette ville, une perpétuelle violence, cyclique, transmise de génération en génération, le feu est habituel, les cris font partie de la vie, ils étudient. Mais bientôt le chaos va les rejoindre, une foule, hagarde, hallucinée, ils lèveront les yeux et verront…
Dans un chant ininterrompu, Guy Régis, avec ce roman sensible, tout de voix et d’échos, fait une peinture hallucinée de son tiers d’île, où l’homme, entraîné dans une spirale d’autodestruction, s’avère être le fossoyeur de ses propres utopies.
Dans un décor de fin du monde, entre le feu et le vent, le cri et le silence, des jeunes gens, enfants de la réparation, enfants de la préparation, immobiles au-dessus du morne, refusent de jeter ne serait-ce qu’un seul regard à la ville en proie aux flammes, ils sont là, ils sont plongés dans leurs livres, plongés dans la mémoire des aïeux qui ont fait cette ville, qui ont vécu ce que vit le cœur de cette ville, une perpétuelle violence, cyclique, transmise de génération en génération, le feu est habituel, les cris font partie de la vie, ils étudient. Mais bientôt le chaos va les rejoindre, une foule, hagarde, hallucinée, ils lèveront les yeux et verront…
Dans un chant ininterrompu, Guy Régis, avec ce roman sensible, tout de voix et d’échos, fait une peinture hallucinée de son tiers d’île, où l’homme, entraîné dans une spirale d’autodestruction, s’avère être le fossoyeur de ses propres utopies.
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