Murmures

LANCEMENT DE LA 7EME EDITION DU FORUM AFRICAIN DU FILM DOCUMENTAIRE : PLUSIEURS SITES RETENUS POUR LA PROJECTION DE FILMS A NIAMEY
décembre 2012 | Divers | Cinéma/TV | Niger
Source : Le Sahel

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par M. S. Abandé Moctar // Le Sahel // mercredi 12 décembre 2012
Niamey est sous les coups de projecteurs de la 7ème édition du forum Africain du film documentaire (FAFD), depuis le lundi dernier. « Les nouveaux cinémas d’Afrique », est le thème auquel la septième édition du Forum africain du film documentaire s’attachera plus particulièrement dans sa programmation comme dans l’éventail de ses débats.

Cette année, le forum a quatre invités d’honneur. Il s’agit des cinéastes Idrissa Diabaté et Fanta Régina Nacro, du président de la Haute autorité de la communication audiovisuelle de la Côte d’Ivoire et ancien ministre de la communication, M. Ibrahim SySavané et le journaliste et critique cinématographie Olivier Barlet, spécialiste du cinéma Africain. Plusieurs lieux ont été retenus pour les projections qui débutent à partir de 18 heures 30. Il s’agit du CCFN/JR avec trois espaces, la Paillotte, le Grand auditorium et le Théâtre de plein air. Il y’a aussi la Place Toumo, l’Université Abdou Moumouni et Alternative.
Comme l’a écrit l’ambassadeur Inoussa Ousseini, fondateur du forum, le Forum africain du film documentaire continue d’enfoncer le clou planté depuis 2006, notamment avec l’organisation, à l’université Abdou Moumouni de Niamey, d’un séminaire à l’IFTIC et d’une conférence par Olivier Barlet. S’ajoutent également les « leçons de cinéma » proposées par Idrissa Diabaté et Fanta Régina Nacro, vétérans du cinéma indépendant. Ainsi, d’année en année, le Forum assure une formation des cinéastes en herbe grâce à des échanges concrets et didactiques avec des professionnels venus des horizons les plus différents.

« Il ne fait aucun doute que cette souche artistique et culturelle, entretenue de manière opiniâtre depuis sept ans et dont le cercle de passionnés va bien au-delà des seuls professionnels, nous permet d’aborder avec vivacité la révolution qui est en route dans le cinéma africain. Que Niamey et le Niger y participent à part entière me semble relever d’une cause nationale : un pari culturel identitaire pour les nouvelles générations. Il me parait vital que la jeunesse de notre pays soit en phase avec les innovations de toutes sortes qui bouleversent aujourd’hui le cinéma dans ses thèmes, ses techniques de réalisation et ses circuits », a écrit l’ambassadeur Inoussa Ousseini.


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