Murmures
Quelles sont ces entreprises françaises présentes au Cameroun?
février 2013 | Faits de société | Histoire/société | Cameroun
Source : Jol Press

© Un kiosque à journaux de la société Messapresse, filiale du groupe Hachette (photo Fabrice Ngon)
Français
Au Cameroun, les entreprises françaises sont présentes dans tous les secteurs d’activité, de l’agriculture à l’édition.
Selon l’ambassade de France au Cameroun, [les filiales françaises]sont présentes dans un large panel d’activités, comme le pétrole (Total, Perenco), l’agriculture et l’agroalimentaire (Compagnie fruitière, Vilgrain, Castel), les équipements électriques et informatiques (Schneider, Va Tech, Cegelec), la distribution (CFAO), le ciment (Lafarge), la logistique et les transports (Bolloré, Air France), la téléphonie mobile (Orange), les banques et les assurances (Société Générale, Crédit Lyonnais, Axa), et le BTP (Vinci, Bouygues).
[…]
Une position monopolistique des entreprises françaises ?
L’importante présence française au Cameroun marque une position de quasi-monopole dans les grands secteurs-clés de l’économie camerounaise. Le groupe Bolloré Africa Logistics a par exemple largement investi dans le port autonome de Douala, principale voie de passage des marchandises du pays, obtenant depuis 2004 la concession du terminal pour une durée de quinze ans. Et le groupe Hachette détient presque toute l’édition et la distribution littéraire camerounaise (…)
[Lire la suite de l’article d’Anaïs Lefébure publié par Jol Press]
[…]
Une position monopolistique des entreprises françaises ?
L’importante présence française au Cameroun marque une position de quasi-monopole dans les grands secteurs-clés de l’économie camerounaise. Le groupe Bolloré Africa Logistics a par exemple largement investi dans le port autonome de Douala, principale voie de passage des marchandises du pays, obtenant depuis 2004 la concession du terminal pour une durée de quinze ans. Et le groupe Hachette détient presque toute l’édition et la distribution littéraire camerounaise (…)
[Lire la suite de l’article d’Anaïs Lefébure publié par Jol Press]
Partager :