Murmures
Sharon Stone. Actrice américaine : « Le cinéma américain ne reflète pas la réalité du monde arabe »
décembre 2013 | Faits de société | Cinéma/TV | Maroc
Source : El Watan

© DR / Sharon Stone à Marrakech.
Français
par K. Smail / El Watan
C’est une Sharon Stone qui se défausse de la truculente image d’Epinal du film Basic Instinct que nous avons rencontrée. Nous avons découvert une star américaine se disant sexy, activiste contre le sida, entière, humaniste, passionnée, très intelligente, ayant de l’humour, parlant de son âge sans complexe. Elle critique les médias américains, elle honnit l’ancien président George Bush et le vice-président Dick Cheney, elle encense le président Barack Obama et l’ex-secrétaire d’Etat Hillary Clinton et espère que celle-ci se présentera à la prochaine élection présidentielle américaine.
-Qu’est-ce qui motive votre engagement agissant pour l’AmFar (The Foundation For Aids Research) ? Où puisez-vous cette force ?
Je pense que nous sommes tous destinés pour une vocation. La mienne n’est pas unilatérale. Et parce que j’aime le fait d’être une actrice. C’est une partie d’un tout. C’est une partie pour atteindre l’humanité. Et permettre à l’humanité de voir ô combien nous sommes les mêmes. Quand vous allez au cinéma, vous vous voyez dans le rôle à l’écran.
-Dans le bon et le mauvais rôles…
Le bon et le mauvais. Et vous aimez cela. Parce que vous êtes libre, seul dans le noir d’être le bon ou le mauvais. Et c’est excitant ! Et vous apprenez sur vous-même. Vous vous éclairez dans le sombre.
-Vous êtes la plus rapide « collectrice » de fonds dans la recherche contre le sida pour l’AmFar…
Quand je travaille sur la collecte de fonds, je permets aux gens de comprendre qu’ils se sentent bien, en abordant quelque chose de mauvais et difficile. Cela permet encore de prendre conscience, de changer à propos de choses qu’ils ignoraient, même de quelque chose de terrible, sombre et inatteignable que le sida. Vous pouvez vous amuser lors des soirées caritatives de AmFar ! Mais le faire mieux !
LIRE L’INTÉGRALITÉ sur elwatan.com
-Qu’est-ce qui motive votre engagement agissant pour l’AmFar (The Foundation For Aids Research) ? Où puisez-vous cette force ?
Je pense que nous sommes tous destinés pour une vocation. La mienne n’est pas unilatérale. Et parce que j’aime le fait d’être une actrice. C’est une partie d’un tout. C’est une partie pour atteindre l’humanité. Et permettre à l’humanité de voir ô combien nous sommes les mêmes. Quand vous allez au cinéma, vous vous voyez dans le rôle à l’écran.
-Dans le bon et le mauvais rôles…
Le bon et le mauvais. Et vous aimez cela. Parce que vous êtes libre, seul dans le noir d’être le bon ou le mauvais. Et c’est excitant ! Et vous apprenez sur vous-même. Vous vous éclairez dans le sombre.
-Vous êtes la plus rapide « collectrice » de fonds dans la recherche contre le sida pour l’AmFar…
Quand je travaille sur la collecte de fonds, je permets aux gens de comprendre qu’ils se sentent bien, en abordant quelque chose de mauvais et difficile. Cela permet encore de prendre conscience, de changer à propos de choses qu’ils ignoraient, même de quelque chose de terrible, sombre et inatteignable que le sida. Vous pouvez vous amuser lors des soirées caritatives de AmFar ! Mais le faire mieux !
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