Murmures
Il faut sauver l’éléphant d’Afrique.
juin 2004 | | Histoire/société
snpn.com
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IFAW (Fonds International pour la Protection des Animaux – ifaw.org) et la SNPN (Société Nationale de Protection de la Nature – snpn.com) organisent les 28 et 29 juin 2004 un Symposium sur la Protection des Eléphants d’Afrique de l’Ouest
(Paris – France – le 7 juin 2004) – Ils sont au maximum 15 000 aujourd’hui dans les savanes et forêts de la République démocratique du Congo. Ils étaient encore 50 000 il y a cinq ans. Quelques dizaines seulement au Sénégal et en Guinée. Si rien n’est fait, ils vont disparaître totalement de cette partie de l’Afrique dans les toutes prochaines années.
L’éléphant est en danger. Les représentants de14 pays d’Afrique (le Congo, le Benin, la République démocratique du Congo, le Tchad, la République Centrafricaine, le Cameroun, le Gabon, le Niger, le Mali, le Burkina-Faso, le Togo, la Côte d’Ivoire, le Sénégal et la Guinée) seront à Paris les 28 et 29 juin pour lancer un cri d’alarme en demandant que cesse le massacre.
IFAW (Fonds International pour la Protection des Animaux – ifaw.org) et la SNPN (Société Nationale de Protection de la Nature – snpn.com) organisent les 28 et 29 juin 2004 un Symposium sur la Protection des Eléphants d’Afrique de l’Ouest et Centrale à l’Amphithéâtre d’Entomologie du Muséum d’Histoire Naturelle au 45 rue de Buffon à Paris 5ème.
Depuis la réouverture partielle du commerce international de l’ivoire en 1997 pour 3 pays d’Afrique Australe – la Namibie, le Zimbabwe et le Botswana- ainsi que pour l’Afrique du Sud depuis 2000, les massacres ont repris et c’est l’ensemble des populations d’éléphants du continent qui est touché.
Si rien n’est fait, non seulement ces éléphants vont très vite disparaître mais aussi avec eux un certain nombre de plantes et d’autres espèces animales indispensables à la biodiversité et à l’Afrique. Ces régions vont se trouver vidées de leurs éléphants sans aucun bénéfice en retour.
Ce pillage des ressources doit cesser et seul un arrêt du commerce international peut sauver cette espèce qui, en Afrique comme partout dans le monde, représente un symbole inégalable et une richesse incontestable pour le tourisme ainsi qu’une ressource alimentaire notamment dans les régions forestières.
Les quelques conflits entre Homme et éléphants signalés dans certaines régions ne sont en aucun cas résolu par ce commerce qui se traduit par des abattages absolument incontrôlables.
De plus, la majorité des pays africains sont opposé à ce commerce qui ne bénéficie pas aux Etats et ne profite qu’à une poignée de trafiquants internationaux. Conserver l’éléphant c’est donc protéger un patrimoine et un trésor inestimable.
(Paris – France – le 7 juin 2004) – Ils sont au maximum 15 000 aujourd’hui dans les savanes et forêts de la République démocratique du Congo. Ils étaient encore 50 000 il y a cinq ans. Quelques dizaines seulement au Sénégal et en Guinée. Si rien n’est fait, ils vont disparaître totalement de cette partie de l’Afrique dans les toutes prochaines années.
L’éléphant est en danger. Les représentants de14 pays d’Afrique (le Congo, le Benin, la République démocratique du Congo, le Tchad, la République Centrafricaine, le Cameroun, le Gabon, le Niger, le Mali, le Burkina-Faso, le Togo, la Côte d’Ivoire, le Sénégal et la Guinée) seront à Paris les 28 et 29 juin pour lancer un cri d’alarme en demandant que cesse le massacre.
IFAW (Fonds International pour la Protection des Animaux – ifaw.org) et la SNPN (Société Nationale de Protection de la Nature – snpn.com) organisent les 28 et 29 juin 2004 un Symposium sur la Protection des Eléphants d’Afrique de l’Ouest et Centrale à l’Amphithéâtre d’Entomologie du Muséum d’Histoire Naturelle au 45 rue de Buffon à Paris 5ème.
Depuis la réouverture partielle du commerce international de l’ivoire en 1997 pour 3 pays d’Afrique Australe – la Namibie, le Zimbabwe et le Botswana- ainsi que pour l’Afrique du Sud depuis 2000, les massacres ont repris et c’est l’ensemble des populations d’éléphants du continent qui est touché.
Si rien n’est fait, non seulement ces éléphants vont très vite disparaître mais aussi avec eux un certain nombre de plantes et d’autres espèces animales indispensables à la biodiversité et à l’Afrique. Ces régions vont se trouver vidées de leurs éléphants sans aucun bénéfice en retour.
Ce pillage des ressources doit cesser et seul un arrêt du commerce international peut sauver cette espèce qui, en Afrique comme partout dans le monde, représente un symbole inégalable et une richesse incontestable pour le tourisme ainsi qu’une ressource alimentaire notamment dans les régions forestières.
Les quelques conflits entre Homme et éléphants signalés dans certaines régions ne sont en aucun cas résolu par ce commerce qui se traduit par des abattages absolument incontrôlables.
De plus, la majorité des pays africains sont opposé à ce commerce qui ne bénéficie pas aux Etats et ne profite qu’à une poignée de trafiquants internationaux. Conserver l’éléphant c’est donc protéger un patrimoine et un trésor inestimable.
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