Murmures
Le décès de Catherine Humblot
avril 2020 | Décès de personnalités culturelles | Média | France

© cinématon de Gérard Courant ww.gerardcourant.com
Français
La journaliste Catherine Humblot est décédée 21 avril à Paris à l’âge de 78 ans.
Le « Monde » la décrit comme « engagée dans son métier de toute son âme, devenue une spécialiste des cultures noires (cinéma et musique) et une critique de télévision passionnée par le documentaire ».
Après avoir collaboré à Politique hebdo, à J’accuse et à Libération, elle rentre au service culturel du Monde en 1974. Elle y devient la spécialiste des cultures noires (cinéma et musique) et critique de télévision.
Elle participe à la création du supplément « Radio-Télévision », qu’elle dirige un moment. « Le documentaire de télévision est devenu sa grande affaire », écrit Annick Cojean. « Elle se fait une haute idée de ce que doit être une télévision publique, source d’éducation ».
Elle est attentive au dialogue interculturel : l’immigration, la diversité. Lorsqu’elle quitte Le Monde, en 2005, elle continue, au sein de l’Institut Panos, à travailler sur ces questions.
« Ses amis du Monde pleurent, eux, une journaliste qui n’entrait dans aucune case, une belle indépendante qui chérissait l’amitié et la poésie, les fleurs, Belle-Ile… et aussi les lémuriens. » conclut Annick Cojean.
Nous nous associons à ces condoléances.
Le « Monde » la décrit comme « engagée dans son métier de toute son âme, devenue une spécialiste des cultures noires (cinéma et musique) et une critique de télévision passionnée par le documentaire ».
Après avoir collaboré à Politique hebdo, à J’accuse et à Libération, elle rentre au service culturel du Monde en 1974. Elle y devient la spécialiste des cultures noires (cinéma et musique) et critique de télévision.
Elle participe à la création du supplément « Radio-Télévision », qu’elle dirige un moment. « Le documentaire de télévision est devenu sa grande affaire », écrit Annick Cojean. « Elle se fait une haute idée de ce que doit être une télévision publique, source d’éducation ».
Elle est attentive au dialogue interculturel : l’immigration, la diversité. Lorsqu’elle quitte Le Monde, en 2005, elle continue, au sein de l’Institut Panos, à travailler sur ces questions.
« Ses amis du Monde pleurent, eux, une journaliste qui n’entrait dans aucune case, une belle indépendante qui chérissait l’amitié et la poésie, les fleurs, Belle-Ile… et aussi les lémuriens. » conclut Annick Cojean.
Nous nous associons à ces condoléances.
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