Murmures
JCC 2023 : la mise au point de la ministre
avril 2023 | Communiqués de festivals | Cinéma/TV | Tunisie

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« L’édition 2023 des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC) préservera les principes fondamentaux de ce festival d’envergure arabe et africaine, avec plus d’ouverture sur le cinéma international »
Suite au tollé rencontré par l’annonce de JCC uniquement tunisiennes le 10 avril 2023 (cf. [murmure n°22109]), Hayet Guettat Guermazi, ministre des Affaires culturelles, a rectifié les choses le 11 avril en prononçant la phrase en exergue dans une déclaration à l’agence TAP.
La ministre a confirmé la nouvelle de la veille selon laquelle la majeure partie de la programmation sera dédié au cinéma tunisien qui célèbre cette année le centenaire de sa naissance. Elle a cependant précisé que les JCC garderont la vocation d’un festival d’envergure arabe et africaine suivie depuis sa création en 1966.
La ministre a ainsi promis « une édition exceptionnelle coïncidant avec la célébration du centenaire de naissance du cinéma tunisien ce qui devra constituer une occasion pour promouvoir à plus grande échelle le cinéma national. »
Elle a élargi la référence à son fondateur Taher Chériâa à la notion d’un festival prônant le cinéma arabo-africain, tout en insistant sur la nécessité de repenser son format et ses mécanismes de fonctionnement futur pour qu’elle soit en harmonie avec l’ère du temps : « Le festival prendra un nouveau départ en adoptant une conception bien étudiée et inspirée du succès des meilleures éditions précédentes », a-t-elle estimé.
La ministre a confirmé la nouvelle de la veille selon laquelle la majeure partie de la programmation sera dédié au cinéma tunisien qui célèbre cette année le centenaire de sa naissance. Elle a cependant précisé que les JCC garderont la vocation d’un festival d’envergure arabe et africaine suivie depuis sa création en 1966.
La ministre a ainsi promis « une édition exceptionnelle coïncidant avec la célébration du centenaire de naissance du cinéma tunisien ce qui devra constituer une occasion pour promouvoir à plus grande échelle le cinéma national. »
Elle a élargi la référence à son fondateur Taher Chériâa à la notion d’un festival prônant le cinéma arabo-africain, tout en insistant sur la nécessité de repenser son format et ses mécanismes de fonctionnement futur pour qu’elle soit en harmonie avec l’ère du temps : « Le festival prendra un nouveau départ en adoptant une conception bien étudiée et inspirée du succès des meilleures éditions précédentes », a-t-elle estimé.
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