Murmures
« La petite révolution de la femme algérienne »
novembre 2010 | Faits de société | Histoire/société | Algérie
Français
C’est le titre d’un article de Fouad IRNATENE paru dans L’Expression du 27 novembre 2010
Malgré la religion, les traditions, et le code de la famille, les femmes algériennes se réveillent.
C’est ce qu’affirme la journaliste qui donne plusieurs exemples :
– Elles font de brillants cursus universitaires qui leur permettent d’occuper des postes importants.
– En moins d’une année, 7500 femmes ont subi des violences sexuelles, mais ces victimes ont décidé de sortir de leur mutisme. Le réseau Wassila a brisé le mur du silence par la publication d’un livre intitulé Le livre noir, sans oublier le centre d’écoute de Bou-Ismaïl, le premier en Algérie, les associations comme SOS femmes en détresse…
– Le nombre de juges femmes était de 1001 sur 3300 juges recensés en 2008,
– Sur le plan purement électoral, le projet de loi indique que c’est la présence féminine qui déterminera la majorité en cas d’égalité dans les suffrages exprimés.
« Armées d’une volonté de fer, les femmes sont prêtes à relever des défis pour leur « émancipation », écrit Fouad IRNATENE, qui cite en exemple la déterminations de femmes qui ont tenu une rencontre interdite sous le thème « Stop à la violence ! Les droits des femmes maintenant » dans le siège très exigu d’une association.
C’est ce qu’affirme la journaliste qui donne plusieurs exemples :
– Elles font de brillants cursus universitaires qui leur permettent d’occuper des postes importants.
– En moins d’une année, 7500 femmes ont subi des violences sexuelles, mais ces victimes ont décidé de sortir de leur mutisme. Le réseau Wassila a brisé le mur du silence par la publication d’un livre intitulé Le livre noir, sans oublier le centre d’écoute de Bou-Ismaïl, le premier en Algérie, les associations comme SOS femmes en détresse…
– Le nombre de juges femmes était de 1001 sur 3300 juges recensés en 2008,
– Sur le plan purement électoral, le projet de loi indique que c’est la présence féminine qui déterminera la majorité en cas d’égalité dans les suffrages exprimés.
« Armées d’une volonté de fer, les femmes sont prêtes à relever des défis pour leur « émancipation », écrit Fouad IRNATENE, qui cite en exemple la déterminations de femmes qui ont tenu une rencontre interdite sous le thème « Stop à la violence ! Les droits des femmes maintenant » dans le siège très exigu d’une association.
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