Murmures
Algerie : le Salon du livre n’a’ni les moyens ni le pouvoir de censurer‘
septembre 2011 | Faits de société | Littérature / édition | Algérie
Source : Actualitte.com

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C’est presque récurrent : chaque année, la question de la censure se pose au Salon international du livre d’Alger (SILA). L’une des occasions pour les habitants de se procurer les livres qu’ils souhaitent.
Extrait du texte rédigé par Nicolas Gary et mis en ligne sur le site Actualitte.com le lundi 19 septembre 2011
L’an passé, la polémique avait éclaté lorsque des ouvrages d’éditeurs égyptiens avaient été refusés. (voir notre actualitté) Une pétition s’était alors lancée pour refuser cette dictature.
Mais à l’occasion de la 13e édition, c’est l’absence de l’auteur Yasmina Khadra, qui avait boycotté le salon, autant que l’interdiction d’importer plusieurs ouvrages largement stigmatisés, qui avait fait rage. On comptait également 1000 titres censurés pour l’édition 2010.
Ça frappe encore (ben va ouvrir…)
Cette année, encore, on pointe l’absence de 400 titres, interdits de séjour au complexe Mohamed-Boudiaf ainsi que l’a stipulé Rachid Hadj-Nacer, directeur du livre et de la lecture publique au ministère de la Culture. Évidemment, tous ces ouvrages auraient une connotation religieuse, expliquait-il ce dimanche, à la radio.
Lire la suite de l’article sur le site Actualitte.com [ici]
L’an passé, la polémique avait éclaté lorsque des ouvrages d’éditeurs égyptiens avaient été refusés. (voir notre actualitté) Une pétition s’était alors lancée pour refuser cette dictature.
Mais à l’occasion de la 13e édition, c’est l’absence de l’auteur Yasmina Khadra, qui avait boycotté le salon, autant que l’interdiction d’importer plusieurs ouvrages largement stigmatisés, qui avait fait rage. On comptait également 1000 titres censurés pour l’édition 2010.
Ça frappe encore (ben va ouvrir…)
Cette année, encore, on pointe l’absence de 400 titres, interdits de séjour au complexe Mohamed-Boudiaf ainsi que l’a stipulé Rachid Hadj-Nacer, directeur du livre et de la lecture publique au ministère de la Culture. Évidemment, tous ces ouvrages auraient une connotation religieuse, expliquait-il ce dimanche, à la radio.
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