Murmures
Asset Malanda : « Le cinéma s’est imposé à moi »
mai 2015 | Sortie de film, livre, album… | Cinéma/TV | République du Congo
Source : Starducongo.com

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France, (Starducongo.com) – « Les étoiles noires de Nollywood » est le livre qu’Aset Malanda, origine du Congo Brazzaville vivant à Paris, a publié en 2014 à travers lequel elle parle de la bonne position du cinéma africain en général et du Nigéria en particulier. La rédaction de starducongo l’a rencontrée à Paris au Salon du livre.
Starducongo : D’où vous vient cette passion pour le cinéma ?
Asset Malanda : C’est avec un véritable plaisir que je partage ma passion pour le cinéma avec le peuple congolais, avec les africains et tout le monde. La passion pour le cinéma me vient tout simplement de ma curiosité. Je souligne que je suis curieuse de nature. Dans ma jeunesse, j’ai connu des situations qui m’ont conduite au devant du cinéma. J’ai participé aux tournages de films, c’est un univers dans lequel j’ai toujours baigné. Le cinéma s’est imposé à moi. J’ai acquis ma culture cinématographique grâce au cinéma afro-américain. Depuis quelques années, je suis amoureuse du cinéma africain et nigérian en particulier.
Starducongo : A quel niveau se situe la différence entre Hollywood, Bollywood et Nollywood dans le monde du cinéma ?
Asset Malanda : Je pense que tout le monde sait que Hollywood renvoie à la grande industrie du film américain ; Bollywood est en référence au film indien et la première lettre de ce mot nous fait penser à la capitale Bombay et Nollywood nous fait tourner vers l’industrie du cinéma nigérian.
Starducongo : Qu’entendez-vous par « le Nigéria vient de déplacer les Etats-Unis » tel que vous l’avez écrit sur la quatrième de couverture de votre livre ?
Asset Malanda : Lorsque j’écris que le Nigéria vient de déplacer les Etats-Unis, je le dis simplement en termes de production annuelle de films. On a l’impression que l’Amérique est le premier pays de production de films au monde, les choses ont changé car c’est le Nigéria qui occupe la première place en termes de production de films. Il en produit chaque année entre 2000 et 2500 films.
LIRE L’INTÉGRALITÉ SUR www.starducongo.com/Asset-Malanda-Le-cinema-s-est-impose-a-moi_a11861.html
Starducongo : D’où vous vient cette passion pour le cinéma ?
Asset Malanda : C’est avec un véritable plaisir que je partage ma passion pour le cinéma avec le peuple congolais, avec les africains et tout le monde. La passion pour le cinéma me vient tout simplement de ma curiosité. Je souligne que je suis curieuse de nature. Dans ma jeunesse, j’ai connu des situations qui m’ont conduite au devant du cinéma. J’ai participé aux tournages de films, c’est un univers dans lequel j’ai toujours baigné. Le cinéma s’est imposé à moi. J’ai acquis ma culture cinématographique grâce au cinéma afro-américain. Depuis quelques années, je suis amoureuse du cinéma africain et nigérian en particulier.
Starducongo : A quel niveau se situe la différence entre Hollywood, Bollywood et Nollywood dans le monde du cinéma ?
Asset Malanda : Je pense que tout le monde sait que Hollywood renvoie à la grande industrie du film américain ; Bollywood est en référence au film indien et la première lettre de ce mot nous fait penser à la capitale Bombay et Nollywood nous fait tourner vers l’industrie du cinéma nigérian.
Starducongo : Qu’entendez-vous par « le Nigéria vient de déplacer les Etats-Unis » tel que vous l’avez écrit sur la quatrième de couverture de votre livre ?
Asset Malanda : Lorsque j’écris que le Nigéria vient de déplacer les Etats-Unis, je le dis simplement en termes de production annuelle de films. On a l’impression que l’Amérique est le premier pays de production de films au monde, les choses ont changé car c’est le Nigéria qui occupe la première place en termes de production de films. Il en produit chaque année entre 2000 et 2500 films.
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